L'art avec lequel l'auteur de ce blog avait négocié ses gouffres demeurait interdit à certains. Quelques centaines de lecteurs avait acheté son livre pour le soutenir. Ce qui permettrait de survivre jusqu'à la fin de l'année.
A observer la situation économique et constater que le cash va encore dans l'immobilier et que les gens n'hésitent pas à acheter très chers avec des taux très bas en s'endettant en moyenne sur vingt ans, je me dis qu'il y a des exils intérieurs dont on ne revient pas. Des descentes lentes, où la volonté de croire à un retour comme avant, se perd, s'endette et s'alourdit d'hypothèques avant de sombrer.
Par quel coup de talon vénitien sur le kick des enfers pensait-on échapper au Grand Effondrement ?
Cette année, l'auteur de ce blog avait fait une rencontre stratosphérique. Le philosophe Mehdi Belhaj Kacem...
La course au précipice pouvait se muer en printemps. Il faudrait s'enfoncer au coeur du labyrinthe où tout était miné en swinguant sur le pont de la rivière Kwaï pour se retrouver un week end à Zuydcoote en hommage à Belmondo. Les scènes d'affrontement étaient partout.
S'incarner parmi les humains devenait une activité à haut risque. Les deux compères avaient donc décidé entre ciel et terre de jeter les bases d'une amitié extraterrestre et Nécronomique.
Mehdi et moi en mode promo Punk
