cantines scolaires
-
L'Union soviétique de la consommation : La France
Du pain et des jeux…dans la sous France...
La coupe du monde de rugby qui semblait être à elle seule une stratégie de croissance (0,3 % en sus dans le meilleur des cas ) étant terminée, nos gouvernants n’ayant visiblement pas d’autres stratégies, vont désormais s’atteler au pouvoir d’achat : Flambée des prix des matières premières de 10 à 20 % sur les produits alimentaires de bases et augmentation des cantines scolaires de 8,5 à 10 % suffiront-ils à réveiller nos concitoyens ?
A l’heure où un bulletin météo nous annonce un ouragan nécronomique mondial, nous continuons à faire du surf et à se laisser bronzer dans un pays où la faible croissance n’existe plus que par les dépenses sociales et publiques dont l’impact global sur la croissance représente désormais 50 % de notre PIB (100% cela s’appelait l’union soviétique…).
Autant dire que le budget 2008 qui prévoit encore 41,7 milliard de déficit ne sert qu’à masquer une récession qui est déjà là…
Lorsqu’on sait qu’entre les impôts directs et indirects nous travaillons déjà plus de six mois pour l’état, on peut donc logiquement conclure que nous sommes arrivés à un stade où nous payons juste pour avoir le droit de consommer les six autres mois restants…
Pourquoi ne pas nous verser un salaire directement pour ne rien faire pendant six mois à part consommer et payer des taxes, sans passer par la case travail qui semble stresser les gens ?
Si c’est juste une question de circulation d’argent…