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Marketing politique et logique économique

Une élection doit concilier le rêve des matérialistes dépressifs et les desseins, encore en sommeil de Dieu, des croyants.
C’est ainsi que les promesses électorales et les programmes qui en découlent, contiennent quelque chose de divin.
Une sorte d'utopie collective qui loin de redouter la réalité, la traite simplement comme une suite de tâches et d'interventions nécessaires pour nous faire avancer vers un monde économiquement meilleur après la chute des idéologies.

Bien que chacun s’accorde à constater que les difficultés dont souffre le pays soient réelles, nous nous apprêtons, une nouvelle fois, a confier notre destin à quelqu’un qui forcément, sera plus présent sur Second Life que dans la vie économique réelle puisque aucun candidat n’en est issu.

Politicien serait une occupation à temps plein, qui ne laisse ni aux nantis ni aux pauvres le temps d’exercer un métier, donc de travailler et d'appartenir à la vraie vie économique.
Les plus pauvres ne sont ils pas obligés de devenir délégués syndicaux à temps plein pour assurer des revenus ?

Il semblerait pourtant logique, en ces périodes troublées ou tous les indicateurs sont au rouge ( récession à la fin de l’année aux States, perspective de baisse de la croissance en Europe dés 2008, situation de nos exportations catastrophique etc...)
Oui, il semblerait poutant logique que l’on ne confie pas les rênes d’un pays à des hommes ou des femmes qui n'ont pas eu, durant leur vie, d'activités liées au commerce et dont les programmes sont financés, en quasi- totalité, par la croissance.
Cela signifie tout simplement, que l’Elu, quel qu’il soit, commettra des actions qui auront pour lui un autre sens que pour les autres, mais qu’il se consolera, comme son prédécesseur, de n’importe quoi pourvu que ce n’importe quoi puisse être résumé en une idée exceptionnelle.

N’ayant crées ni valeur ni emploi dans le monde réel à titre personnel, les politiciens éligibles ou non, se sont contentés, pour lors, dans leur carrière de regarder l’avenir dans le rétroviseur de l’opinion public, sans jamais avoir à jouer un coup d’avance (merci Al Gore, merci Hulot) qui aurait pu être alimentée par une vision éco/nomique/logique.

A la beauté même d’une femme, on ne peut nier que celui qui l’accompagne ajoute ou enlève quelque chose ;
C'est aussi vrai pour la force d'un pays.

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