Alors comment va s’organiser cette mutation ?
Lorsque l’on veut faire traverser une berge à quelqu’un, il faut réunir trois conditions. La première c’est de donner à la personne envie de traverser la berge en mettant de l’autre côté quelque chose qui va l’attirer. Dans ce cas précis, ce sera la promesse d’un monde meilleur. La deuxième des conditions est de sécuriser la traversée de la personne. Si l’eau est froide, lui mettre une combinaison de plongée, si la pente remonte de l’autre côté de la berge, mettre une petite échelle…Ce sera donc des incitations fiscales et des bonus-malus. Enfin, troisième condition : Mettre une claque dans le dos à la personne car sinon elle n’ira jamais…C’est une condition nécessaire. Ce sera donc des lois, des taxes écologiques, des diagnostics énergétiques, des changements de compteur EDF obligatoires et des contrôles écolo réguliers. Un peu comme les contrôles techniques pour les bagnoles. Du racket…
Il s’agit de forcer les gens à acheter un certain nombre de produits en feignant d’ignorer que les consommateurs sont contaminés. C’est en tous cas, ce qu’essaye de nous vendre l’enclave sociale-démocrate verte. Bref, Le monde rêvé des Bobos…
Territoire de synthèse entre l’enclave des amis du Marché et l’enclave sociale libérale verte.
Le passage de la nature à la culture est le passage du cru au cuit. Le plat semi-cuisiné n’existe pas, pas plus que ne peut exister la sociale démocratie dans un monde ou l’entreprise est faite pour créer des richesses pas des emplois.