Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

J'ai shorté ma mère et je suis allé en tôle

zone grises.pngLa nouvelle dont tout le monde parle...

Toute la planète finance connait Mr Big Short Né Michael Burry, l’homme qui a parié et gagné contre les prêts hypothécaires à risques (subprimes), magnifiquement joué au cinéma par Christian Bale dans The Big Short

Scion Capital est son fond, en fait l’un des baromètres cachés et hétérodoxes que les opérateurs de marché examinent pour essayer de détecter les tendances dans l’œuf. Ceux qui ne finissent pas en première page du Wall treet Journal. Du moins, jusqu’à ce qu’ils se réalisent, devenant des nouvelles sous la forme d’un effondrement. Parce que Burry est un soi-disant permabear, un investisseur constamment concentré sur les criticités sous-jacentes du marché: premièrementl’abus structurel de l’effet de levier et la manipulation systémique par les banques centrales.

Et quand un personnage avec ce curriculum vitae et ces références, le 4 août publie un tel tweet

click on picture

FZVUTZEXoAA6NEG.jpg



Et le plus troublant, c’est qu’à la fin du deuxieme trimestre, il a liquidé l’ensemble de son portoflio, contenant des noms tels que Alphabet, Facebook, Meta, Bristol-Myers et Apple et a maintenu une petite participation de 3,3 millions de dollars dans GEO Group, une société de Boca Raton, en Floride, dont le cœur de métier semble révélateur : c’est l’un des principaux gestionnaires pénitenciaires privés aux États-Unis.

La prison une valeur qui monte....La prison sinon rien...Une valeur d'avenir



Commentaires

  • Selon une étude réalisée par le principal syndicat patronal du secteur, 25 % des entreprises ayant contracté un PGE ne seraient pas en mesure de le rembourser. Les professionnels réclament un aménagement du dispositif, mais Bercy ne l'entend pas de cette oreille.

    zombie zombie

  • mR BIG SHORT AVAIT RAISON

    Amazon (-3,62%), Tesla (-2,28%), Meta (-2,92%) et Alphabet (-2,58%) ont illustré la dégringolade. Les entreprises du secteur technologique doivent souvent emprunter pour nourrir leur croissance et vivent généralement mal, de ce fait, le durcissement des conditions de crédit.

Les commentaires sont fermés.