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Le Burn Out Sociétal

 

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Dans le prolongement de l'llustre Robert E Lane (qui avait prophétisé en son temps la perte du bonheur dans les démocraties de Marché, livre hélas jamais traduit car trop noir qui n'avait reçu pour la même raison qu'un très modeste succès commercial), je continue dans les gonzonomics pour constater les dégâts. Parce qu'il faut aussi en rire, Après avoir été démonteurs d'illusions nous sommes devenus des épavistes en puissance...

La nécronomie et son langage parfois opaque étant devenu au fil du temps une avant-garde. Je vous propose de prendre compte ce nouveau concept.

Le sujet du Burn Out a fait l'objet de nombreux ouvrages et de nombreux travaux. Il est défini généralement comme un épuisement psychique résultant d'un stress chronique dans le cadre du travail.

Avec ce blog, nous avons aussi l'ambition de démontrer qu'une grande partie de la population a vécu un Burn out sociétal.Ce Burn out sociétal est la conséquence de multiples facteurs qui se sont conjugués. Nous en examinerons ici le survol et les détails. Toutes les conséquences de ce phénomène ne peuvent être à ce jour connus. Elles sont et seront médicales et psychologiques mais aussi économiques. L'économie reposant sur la confiance. Nous sommes convaincus que le Burn Out sociétal est le préalable pour comprendre les événements qui se déroulent et comment ils sont reçus par un public qui s'est déconnecté de la narration officielle des gouvernants.

 

Vous le vivez comme moi dans l'effondrement que nous vivons. Un monde qui oscille entre les faits d'hiver(doux) barbares et sanglants aussitôt instrumentalisés genre Lola contre Allah ou Justine où les malheurs de la vertu et la redécouverte de l'existence du mal sur les plateaux TV et la guerre sans guerre...

Comment en sommes nous arrivés là ?

C'est un débat nécronomique qu'ils nous faut avoir...nous croisons tous des gens burnoutés. Cela va tout simplement trop vite et cela fait trop d'informations à assimiler. La mondialisation est devenue une ennemi qu'elle réprésente des pandémies ou de l'immigration et des pénuries...

On peut considérer que le capitalisme et ses crises avait été intégré par les populations. Le consommateur/producteur se relevait sans cesse et puis tel un enfant hydrocéphale retombait sous le poid de la tête (dette). Au fond de nous mêmes, nous avions intégré la destruction créatrice schumpeterienne non par la théorie mais par l'expérience ou la simple observation.

 

Les événements récents liés à la crise économique puis la pandémie et maintenant le contexte géopolitique et le changement climatique qui précède une mutation d'une ampleur historique, ont bouleversé tout ça. Historique aussi, le désir de vouloir faire muter des populations en deux ou trois ans alors que pareille mutation se conduit sur vingt ans soit une génération, 

 

L'ensemble des ces évènements a généré un burn out sociétal qui n'a pas encore été analysé et dont ce blog fait aussi l'objet dans le vai faux présent perpétuel.

PS Conseil du jour, perdez pas votre temps avec les burnoutés et n'oubliez pas que certains sont très rancuniers, imaginez que vous êtes au théatre sans payer la place.

Commentaires

  • " … et la redécouverte de l'existence du mal sur les plateaux TV et la guerre sans guerre... "
    Il s ont voulu éliminer la mort, elle revient par la fenêtre.
    C’est souvent bien plus glauque que si on avait simplement laissé faire le destin.

  • Oui la vie est un grand théâtre, Charles Antoni approuverait.
    Vaut mieux en rire de tout cette absurdité, une farce...
    ;-)

  • tu fais bien de le rappeler, charles antoni était une star du theatre chez ariane mnouchkine
    c'était un fan du théatre total
    il a tot quitté écoutant la voie des poetes du grand jeu comme daumal ou roger gillbert le comte et la beat generation de Kerouac, de burroughs et les sociétés de contrôle. Il m a donné la chance d être publié, moi l impubliable... Préfacé en plus par Paule Orsoni grande éleve de Bourdieu...plus tard Le regretté Perre Drachline voulait me publier au Cherche Midi
    Il est mort avant
    Charles Antoni le moine guerrier corse me disait souvent "le corps c'est de la merde, il était convaincu que l on pouvait exister sans corps un peu comme Anto,i, Artaud avec le corps sans organe

    je suis content d avoir croisé des gens comme ça mais c'est aussi cela la nécronomie

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