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  • Les garçons sauvages

    Fin connaisseur de l'homo-économicus, l' ami William Burroughs, géni(t)al prophète des garçons sauvages, par conséquent premier écrivain a prédire les futures émeutes trans-générationnelles (avant JPC... faites des cadeaux à vos enfants, ce sont eux qui les paieront...)),  avait coutume de dire a peu de choses près :

    Si tu veux chasser lé pédé, il faut aller le chasser là ou il se trouve…Dans le cul des jeunes garçons…

     

    Pitch des garçons sauvages en cut up :

    le monde est le terrain d'affrontements générationnels de deux armées : celle des conservateurs, réacs, et autres commerçants type Tea parties et celle des garçons sauvages, féroces guerriers qui réinventent à chaque instant l'art de tuer et d'être barbares, fils maudits mais fils quand même des démocraties de Marché et en cela pur fruit des sciences de l’économie les plus modernes…

     

    Cela vous rapelle qqchose...

     

     

  • Le bûcher des vanités...


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    Il est des Unes qui se font involontairement et n'en sont pas moins chargées de sens...




  • La Chine est rouge et le congo belge...

     

     

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    La communauté asiatique si discrète et travailleuse cristallisera t elle contre elle les autres communautés et ethnies rendant possible le scénario nécronomique de convergences des extrêmes vers un centre radical, sorte de front anti-chinois constitué de ceux qui refusent leur Marche forcée vers la croissance financée par une monnaie sous évaluée ?

    Au congo, en tous cas, leur présence de plus en plus grande, n’est pas comprise par la population qui comprend ce qu’ils viennent chercher mais qui ne comprend pas ce qu’ils amènent.

    Certains comiques congolais s’en donne a cœur joie avec une férocité dieudonesque qui serait classé X en France.

    L’un d’eux, raconte l’histoire d’une congolaise qui tombe enceinte d’un chinois et qui perd son bébé au bout de deux semaines.

    Se pose alors la question de l’enterrement mais chacun convient qu’on ne peut pas l’enterrer car son père est chinois et les chinois n’ont pas de Dieu.

    Chacun repart donc chez lui en concluant : « Ce que fabriquent les chinois, ça ne dure pas ».

    Ndlr : Au Congo, ils ne connaissent pas l’invention française des bébés congelés…