Alors là les zamis, lorsqu'on écoute les infos, entre les mineurs isolés qui violent et qui volent comme au TrocadEro, les jeunes islamo racailles du stade de France et enfin les meurtriers de quatorze ans, sans parler des psy qui commencent à parler du manque d'apprentissage cognitif pendant le covid chez les enfants, c'est la panique...

Dans tous mes livres et notamment le premier Crise et Mutation, je parle de l'oncle Bill auteur spéciaiste des sociétés de contrôle, raison pour laquelle j'ai évoqué le dernier sujet tabous,celui des émeutes transgénérationnelles, des enfants qui disent NON je ne payerai pas ta retraite par mutualisation....VTF (va te faire foutre)....

Ecrit en 1971, ce livre culte

Des adolescents guérilleros rompus à toutes les armes du sexe et de la drogue vont dévaster la terre.

Des meutes de garçons-insectes,garçons-planeurs,garçons-patins à roulettes (Rodeo?), garçons frondes,garçons lézards vont saccager le monde.

Ne sont-ils pas la seule riposte à ces États policiers qui maintiennent une façade démocratique derrière laquelle à haute-voix les gouvernants disent que les drogués et les invertis ou ceux qui s'opposent à la machine de contrôle sont des criminels ?

Et aussi l'auto-chatiment de ces États ?

J'ai coutume de dire : Tout ce que nous vivons, la crise, le virus, le burn out sociétal, est le fruit des sciences économiques les plus modernes, du libéralisme et de la mondialisation. Keynes disait que nos vies n'était que le fruit de scénarios d'économistes défunts, aujourd'hui nous vies ne sont plus que le fruit de scénarios de banquiers centraux non élus...

C'est la raison pour laquelle j'ai écrit ce livre dont je suis fier (des autres aussi). Je relisais le premier chapitre sur le virus agent invisible révélateur, je suis content de moi et ne change pas une ligne à l'analyse.

A mettre au coffre

L'histoire s'accélère....Je ne parle pas de la BCE et du réveil de Hagarde qui opère une frileuse hausse de taux mais de la FED et de la réunion prévue du 14 au 15 juin et de la formalisation du processus de hausse des taux et d’accélération du resserrement quantitatif du bilan.

Les élections approchent et aux USA comme en France, l'histoire de l'économie guerre sans guerre passe bien après le pouvoir d'H.A qui seul permet de payer l'essence et les courses...L'austérité ne paye pas les loyers et la sobriété heureuse est un truc de bobos qui font le choix de la vivre cette sobriété...

Le 17 juin, deux jours après se profile nous une expiration monstrueuse des options à Wall Street, quelque chose comme 3,2 billions de valeur assortie parmi les actifs.

On verra alors si ça craque où si il ne se passe rien. S il ne se passe rien, cela veut dire que la Money Power n'a pas peur et spécule sur un retour de la planche après le coup de canon.

Le plus grand hedge fund au monde parie sur un scénario noir pour l'économie (msn.com)

Bon voilà, ces derniers jours, j'ai été en immersion dans les bulles.

Je peux vous dire que la panique est là...Chez les patrons style MEDEF et Croissance Plus qui s'accrochent à l'idée que l'inflation est transitoire et dû à un choc exogène (énergie et matière premières) Ils sont terrorisés à l'idée d'augmenter les salaires....et font semblant de croire Lemaire qui prévoit une baisse de l'inflation fin 2023 !!!

Chez les éco non nécro, on vient de s'apercevoir que l'inflation est principalement liée à la planche à billets....ce que l'on apprend dans les manuels de base.

Dans la finance de l'ombre et les dark pools, c'est autre chose, ils manquent de projets à financer...y a trop d'argent qui tourne et ne trouve pas preneur...

Je vous le dis les zamis nécro, c'est la débandade...

Y a l'ami Mehdi qui est passé saluer les Nécros. il sortait de chez Bercoff à Sud Radio. Bon, il est en pleine forme, il enchaîne les confs et les ITW pour son nouveau livre. Il vous salue

Mehdi, JPC et Fanny la fiancée du pirate

Beaucoup d'encre a coulé depuis le déclenchement mondial de la "crise du Covid-19". Et pourtant, les réactions des philosophes sur la question laissent entièrement à désirer. Le plupart ont pris pour argent comptant la narration officielle faite de ladite "crise", et n'ont pas songé à interroger les fondements mêmes de cette narration, pourtant d'évidence cousue de fil blanc en tous ses points stratégiques.