Tant que l'immobilier baissera
le marché action s'ecroulera
et la consommation chutera
car les hommes construisent des maisons pour oublier qu'ils sont mortels
Père FOURAS (moiçaoujpense)
On oppose souvent le pessimisme des français au fort taux de natalité par famille que nous envie nos voisins européens.
Il existe pourtant une explication claire et précise de ce phénomène.
Elle est l'oeuvre du plus grand biologiste français, prix Nobel, Jacques Monod qu'Henri Laborit appelait le "dernier des justes".
Je ne résiste pas au plaisir de vous la livrer tant elle est "politiquement incorrecte"
extrait du Hasard et la nécessité :
Comme chacun sait, les statistiques le démontrent, il existe une corrélation négative entre le quotient d'intelligence ou le niveau de culture et le nombre moyen d'enfants des couples.
Autrement dit, plus on est con, plus on fait des mômes...
Ceci explique cela...
Nécronomiquement votre
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Démographie en France : l'explication
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Carla Bruni fait elle partie des droits de l'homme ?
Il faut définitivement cesser cette hypocrisie des droits de l'homme.
Ce n'est pas un hasard si Rama Yade est en charge de ce rôle.
Cela signifie simplement que les droits de l'homme ne concernent désormais plus que les pays africains qui ne sont plus stratégiques pour nous au plan économique (cf discours de Dakar)
Pour le reste, Poutine, Bush et Hu Jintao font ce qu'ils veulent quand ils veulent, car ce sont eux qui controlent l'économie mondiale.
La pensée droitdelhommiste de nos dirigeants est parfaitement résumé par ce dicton cantonais (langue du bizzness en Chine) que l'on peut traduire ainsi :
" Si tu veux pas vendre ton cul, te plaint pas d'être pauvre..."
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Manifeste pour une récession
Republication du Manifeste pour une récession déjà paru le 21 01 2008
aujourd'hui, je me sens féniant comme dirait Dupain
http://www.dailymotion.com/relevance/search/dupain/video/x5epul_dupain-feniant_news
spécial dédicace to Y de la part d'un défenseur ardent.
Rien ne change, mais l’économie, de doucereuse et banale devient belliqueuse et brutale. La récession approche.
Elle est apprivoisée par satellite et sur les écrans plasma des salles de rédaction, masquée d’un loup blême pour ne pas affoler le consommateur, muselée par la machinerie methodique des médias et des pouvoirs politiques qui refusent de la rencontrer.
Le lecteur de 60 millions de consommateurs se souvient il qu’il est mortel ?
La récession pourtant, est la mesure universelle. Elle tombe derrière la lumière d’un projecteur noir sur l’orchestre de l’économie mondiale: c’est la récession, qui bien inspirée défie, déchire, divise ou déflore le no man’s land de la fade éternité de la consommation.
Car privée de son projecteur noir, l’économie n’est plus que ce les medias en font : une nausée sans fin, balisée ça et là de quelques accidents.
Quelques millions d’américains, jetés à la rue pour avoir voulu aller au ciel de la consommation, des flux migratoires qu’il nous faut, à la fois, stopper et attirer sans contradictions.
De richissimes fonds souverains aux dollars nimbés d’essence secourant les grandes banques américaines,
est cela la récession ?
La récession est l’ultime rempart d’un monde vidé de sens où dans les grandes métropoles, on peut croiser des femmes voilées et des fillettes qui portent des wonderbras, moments uniques où la religion croise la consommation sans même reconnaître qu'elles réprésentent les facettes d'un même monde en dégénération..
C'est la récession qui redonnera du sens à la vie, en cela, elle n'a pas de prix et il faut refuser sa dévaluation.
Nécronomiquement votre