Nous avons à préparer une révolution de la vie quotidienne mais ce qui s’annonce n’est pas le dépassement de la survie mais sa sauvegarde par le changement du mode de fonctionnement économique de nos sociétés financés par la surabondance de liquidités.
La dette et le crédit : On peut jouer avec mais pas s’y suspendre (règle nécronomique)
C’est ce qu’on fait les sociétés occidentales les plus avancées.
C’est la raison du Krach Mondial et de la Très Grande Dépression qui va suivre :
Nous allons donc sortir d’une économie de désir ou le consommateur n’a pas conscience d’être un pantin manipulée par des Marques pour glisser vers une économie sans désir, TGD oblige.
La séquence « consommer jusqu’à se consummer » vient donc de se boucler.
La consommation va s’écrouler inévitablement et les Marques si arrogantes dans leur discours « parce que je le vaux bien. » devront rendre compte de l’argent qu’elles ont subtilisé aux consommateurs infantilisés.
A cette occasion, elles feront face à une infidélité grandissante de leurs clients avec lesquelles elles n’ont pas su réellement pendant toute ces années créer des liens durables.
Procter, Unilever…Personne ne sera épargné.
« Pourquoi continuerions nous d’acheter vos produits si chers ? ? ? leur hurleront les consommateurs devenus routiniers du hard discount et des Marques de distributeurs (MDD) au lendemain de la gueule de bois mondiale
dûe à la raréfaction du crédit (donc des cartes de fidélité et des cartes de crédit).
« Qu’avez vous fait pour nous ces Vingt dernières années quand tout allait bien..??? »
« En quoi avez vous contribué réellement à notre bien être ? »
seront les questions auxquelles les Marques devront répondre si elles veulent survivre.
récession - Page 77
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APOCALYPSE DES MARQUES
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Necronomy Power
Confirmation des hypothèses nécronomiques sur la phase d'impact en décembre/janvier
Note du 4 7 2008 Dollar je t'aime à l'agonie.
Source AFP
L'inquiétude est également vive au sein de la banque centrale, qui vise une inflation "de base" de 2% maximum. Le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke a jugé la situation inacceptable.
"L'inflation est trop élevée actuellement. Et c'est une priorité absolue pour la Réserve fédérale de mener une politique qui permettra de ramener l'inflation à un niveau acceptable et cohérent avec la stabilité des prix", a-t-il assuré lors d'une audition parlementaire.
En temps normal, un tel dérapage appellerait une hausse de taux. Mais l'économie américaine fait actuellement face à de multiples défis nés de la crise de l'immobilier, allant de la menace de récession aux turbulences sur les marchés financiers, et cela empêche de fait tout durcissement monétaire.
"L'économie stagne et l'inflation augmente. Il est clair qu'on est loin des niveaux des années 1970, mais la combinaison des deux crée un véritable problème pour la Fed", note l'économiste indépendant Joel Naroff.
C'est pourquoi la banque centrale va sans doute maintenir un certain temps encore son taux directeur à 2%, malgré les réticences des plus orthodoxes en son sein qui n'avaient pas hésité à voter contre les récents assouplissement monétaires.
"La Fed s'abstiendra sans doute de relever ses taux jusqu'à 2009", estime Kenneth Beauchemin du cabinet Global Insight.
"Et même l'hypothèse d'une baisse des taux reste sur la table, dans l'hypothèse improbable d'un désastre financier dans les mois à venir", ajoute-t-il.
Improbable ??? Vous êtes sûr...Alors pourquoi Bernie la Plante Bernanke n'augmente t-il pas les taux pour combattre l'inflation alors qu'il nous en parle depuis presqu'un an ???
A t'il réellement la capacité de soutenir sa monnaie sans détruire son économie ???
En mars 2007 lorsque j'ai démarré ce blog, la récession était improbable,
et il y a six mois la stagflation que nous avions annoncé l'était aussi...
Aujour'd hui tout est là, il ne manque plus que la Stagdéflation qui va arriver dés le deuxieme semestre de l'année prochaine..pour s'étendre pendant plusieurs années.
TGD (2008-20012)
We play together,we pay together...
Nécronomiquement votre les Amis...
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Bear Market
Ne cherchez pas où a disparu l’empire de l’est, il renaît sous nos yeux, dans le respect des formes démocratiques , aux USA, avec l’inéluctable nationalisation des banques en faillites.
Ainsi fonctionne le libéralisme, ou le consommateur paye deux fois.
Une fois en tant que spéculateur
Une fois en tant que contribuable.
Dans les mois qui viennent, nous constaterons que
jamais dans le temps et dans l’espace planétaire, le désespoir d’avoir à survivre au lieu de vivre n'aura été aussi grand.
Jamais, non plus tant de populations n’auront été en simultané la proie du désarroi et de la peur.
La baisse tendancielle des profits et la paupérisation grandissante se vérifient jour après jour et pour cause :Plus rentable que la production et la consommation, la gestion du capital inerte l’emporte et abandonne la planète à l’état de patrimoine foncier propre à une rentabilité en déclin et impropre à l’investissement.
En quelques mois, le CAC 40 a ainsi gommé trois ans de gains, ce qui représente des milliers de milliards d'euros partis en fumée
Il ne lui en faudra que quelques autres pour revenir à son niveau d’il y a 20 ans lors de sa création. Le phenomène est mondial.
Une mutation s’annonce. elle marque la fin d un très long cycle qui aura duré soixante ans.
Ni les marchés actions ni l’immobilier ne retrouveront les cours d’antan produits fictifs d’un sur endettement état , entreprises et particuliers, basé sur l’abondance de crédit donc l’excès de liquidités artificielles.
C'est précisément cet excès qui génére aujourd'hui de l'inflation.
La désagrégation sociale et le désarroi des mentalités s’accentueront à mesure que le capital se retirera lentement et sûrement de la production et de la consommation.
Dans cette atmosphère naissante de fin du monde, l’économie épuisée s’emploiera avec zèle à amasser ses ultimes bénéfices et à les concentrer dans le cercle d’une spéculation internationale énergie et matières premières car les banques doivent désormais réinventer leur business model et ne retrouveront jamais non plus leur niveau de valorisation du passé.
Que peuvent valoir les actions de banques sauvées par des contribuables ?
L'illusion du libre choix et la promesse d’un bonheur immédiat payable à tempérament sont définitivement morts et enterrés pour le plus grand nombre.
Que restera t il des illusions engrangés par une société qui identifiait le bien être à la consommation, une fois que la régression sociale et la baisse du pouvoir d’achat fermeront les portes du paradis de pacotille promis aux jouissances salariales ???
A quoi aura abouti la valeur travail si longtemps proposé à l’admiration des foules si ce n’est à la perte du bonheur dans les démocraties de marché ?
Bienvenue dans la TGD