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partage de la valeur

  • Le libéralisme autoritaire et la valeur travail

     

    Le libéralisme à l'ancienne nous vantait la société de loisir. Depuis les années 70 le capitalisme avait compris qu'il y avait bien plus à gagner de la propension des gens à consommer n'importe quoi et à confondre la vie avec une accumulation de gadgets qu' à les faire travailler plus. C'est pour cette raison que le temps de travail a été réduit. Moins travailler c'était consommer plus.

    Le hargneux résigné pouvait acheter la verroterie que lui délivrait la Money Power comme un certificat de bien être.

    Ainsi fonctionnaient les démocraties de Marché.

     

    Désormais, les gens sont trop endettés pour pouvoir encore consommer

    Les banquiers centraux appellent à une grande modération sur les salaires pour ne pas créer des effets de second tour et alimenter l'inflation. La fameuse boucle prix/salaires...

    Dans l'ordolibéralisme new age, il faut convaincre les gens que l'on ne travaille pas uniquement pour l'argent ou l'ambition mais simplement pour exister et être intégré au troupeau dans un destin commun : l'abattoir où l'on veut bien aller si un berger nous guide.

    On ne transige pas avec la valeur travail. Les fins de semaine, les congés payés doivent être vécus avec panique. Hors l'entreprise, les salariés ne savent que faire de leurs heures en orphelins de la productivité. Leurs cerveaux sont en jachères. Le confinement l'a prouvé tout comme le télétravail qui génère des violences conjugales et des bébés secoués ou essorés.

    Ils vont au bistrot et ne s'intéressent qu'aux matchs de foot ou aux nuits merveilleuses du loto. Les musées ne sont fréquentés que par les touristes.

     

    Quand vient l'heure de la retraite, les inutiles et hors d'usage font des repérages dans les cimetières. Raison pour laquelle pour le bien de tous, on repousse l'âge de la retraite vécu comme une très grande dépression.

    Pourquoi aller dans une maison de retraite où l'on sera maltraité physiquement ou sexuellement ?

     

    Alors évidemment comme il faut une carotte et on va parler du partage de la valeur et du dividende salarial. Une utopie transcendantale du travail ou du capitalisme des parties prenantes cher à Davos et théorisé par Schwab.

     

    Pour ceux qu'ils l'ont pas vu...

    La valeur travail c'est de la merde! avec Jean pierre Crépin - YouTube

  • Le mur du réel

    Ce que je peux te dire c'est que j ai quand même rencontré du lourd, l'année passée.
    Y a tjrs un moment où ils arrivent plus à suivre.Ils en sont encore au partage de la valeur !!! Cela dit les humanistes flippent aussi quand ils parlent avec moi qui ne propose que les décombres.
    La crise c'est quand un monde se termine et qu'un autre n'arrive pas à emerger. J'en veux pour preuve que les grands perdants de la recession en terme de distribution alimentaire sont les magasins bio toutes les chaînes en faillite ou a vendre. Le consommateur zombie devenu résilient de la pauvreté achète un prix plus qu'un produit. LIDLisation des esprits. Ramasser dans les poubelles devient un acte citoyen...Bonne note...La bulle verte c mal barrée !
    Pour autant à part des luttes corporatistes; je ne vois rien emerger si ce n'est la résignation et le c'était mieux avant
    les gens considerent que manifester ne sert à rien puisqu on obtient rien. 
     
    Pour le reste il y a une multitude de groupe qui réfléchissent à un monde basé sur une morale idéalisée ou un idéal moralisé...Ainsi va le monde des burnoutés, il y a effectivement une demande de transcendental car les gens n arrivent pas à se transcender tout seul. Un moment cela se heurte de plein fouet au mur du réel car la verticalité, ça paye pas les loyers....