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taux variables

  • Après Borat au kazakstan, Un Nécronomiste au Boukistan

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    Emblême du Boukistan le pays de la croissance

    Voyez-vous chère Dame Christine Lagarde, nous autres Boukistanais, n’aimons pas les Bankistanais.
    Et tout particulièrement les bankistanais à l’origine de le crise du crédit, qu’on lancé les States dans le monde entier, financée par des crédits hypothécaires effectué sur le dos des pauvres...
    (en se disant qu' on pouvait toujours récupérer leurs maisons….mais que l’afflux de biens saisis a été tel que le prix de l'immobilier s’est écroulé…Principe de l’arroseur arrosé…)

    En fait, que cela soit à taux variables ou à taux fixes, il n'est pas convenable, aujourd'hui, de laisser des gens prendre le risque de s’endetter sur trente ou quarante ans, en sachant que durant cette période, ils connaîtront plusieurs emplois (sauf s’il sont fonctionnaires), plusieurs femmes (divorce), plusieurs cycles économiques (en haut/ en bas) et qu’il leur faudra survivre à tout cela dans monde instable comme jamais…???

    Quel jugement moral portez-vous sur ce marketing des pauvres…avec aux USA plus de 3 millions de personnes qui ont déjà perdu leurs maisons dont certaines sont même revendues à 1000 dollars dans des villes comme Flint, par exemple…

    Que pensez-vous de cette façon de faire de l’argent en endettant les gens pour les faire consommer à tout prix jusqu’à ce que l’on vienne tout leur reprendre ?

    Nous autres Boukistanais, aurions beaucoup aimé vous entendre vous exprimer là dessus…

    Nécronomiquement votre

  • Marketing des pauvres : Un métier d'avenir pour les riches

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    Pays par pays et donc en France également, les deux marchés en très forte croissance, chiffres de l'ANPE, sont : le Marché du recouvrement (des dettes des pauvres) et le Marché de la sécurité des biens et des personnes (profits des riches).Ces deux marchés connaissant depuis plusieurs années une croissance de 30 % par an.

    Inutile de dire que ce à quoi nous assistons avec la crise mondiale du crédit aux et USA ( 7 millions de personnes qui viennent de perdre leur maison) et qui se diffuse partout dans le monde, n'en est qu'une des répresentations multiples.

    Certes les taux variables ne semblent concernés que 150 000 français, mais plusieurs millions d'autres utilisent actuellement les crédits à la consommation pour finir leur fin de mois voir payer leurs impôts (pour ceux qui ont encore la chance d'en payer...)

    Comme d'habitude, nos amis américains ont été géniaux pratiquant ce que nous autres Nécronomistes appellons "le coup du Double Dong" (les amateurs de sex toys comprendront...)

    En résumé, il s'agissait d'endetter fortement les pauvres (immobilier et consommation), de faire de ces dettes des produits financiers titrisables que l'on pouvait céder à d'autres banques notamment à des banques étrangères afin de leur rappeller à quel point, elles sont dépendantes de Wall Street.

    C'est pourquoi, la crise du crédit est aujourd'hui une crise mondiale.

    Un des effets toutefois indésirable de cette crise aura été d'éclairer d'un coup de projecteur une vérité que tout le monde connaissait mais qui apparait encore plus cruelle a ce jour, à savoir que le pouvoir d'achat des riches augmente proportionnellement à la diminution de celui des pauvres.

    D'où les différentes récentes polémiques sur les indices mesurant le pouvoir d'achat des français.

    Je m'explique et cette démonstration sera d'autant plus vérifiable que la flambée des matières premières et du pétrole font qu'avec l'augmentation du coût de la vie des semaines à venir tout le monde s'en rendra compte aisément (si besoin en était).

    Pour les pauvres, les dépenses de consommations résident essentiellement dans le logement (achat ou location), les déplacements (transports ou essence) et la nourriture.
    Tous ces produits n'ont cessé d'augmenter de manière inconsidérée.

    Inversement pour les riches, les dépenses de consommation se sont portées sur des biens mobiliers ou high tech (écrans plasmas, micro-ordinateurs, téléphone, aménagement de la maison dont ils sont propriétaires etc...)
    et il est vrai que sur l'ensemble de ces segments de consommation, les prix ont considérablement baissé.
    Bref, les produits inaccessibles pour les pauvres sont devenus moins chers mais pour autant toujours inacessibles car dans le même temps leurs dépenses de consommations courantes augmentaient.

    Inversement pour les riches ou l'augmentation de ces dépenses n'étant qu'une faible partie de leur budget, le gain de pouvoir d'achat a été très important.

    Nous sommes donc authentiquement en présence d'un double indicateur de pouvoir d'achat : en baisse pour les pauvres et en augmentation pour les riches.

    Nécronomiquement votre...