Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture ou sépulture d'entreprise ?

medium_tombe_2_.2.jpg

Louis Sweitzer, qui béneficia un temps d'une flatteuse mauvaise réputation liée aux licenciements de Vilvorde, est de l'avis de ceux qui l'on rencontré un humaniste.
Il avait ainsi défini les valeurs de la Marque avec un cabinet de tendance: "Visionnaire, Audacieux, Chaleureux"
Chaque nouveau salarié avait alors droit, lors de son embauche à une projection
qui lui présentait ces valeurs, partie intégrante de la culture d'entreprise.
Sweitzer est parti, Ghosn est arrivé et le lien social s'est peut être rompu...
C'est du moins, ce sur quoi s'interrogent la Direction et le comité hygiène et sécurite de Renault qui cherchent actuellement une explication à la vague de suicide qui s'est abattue sur le technocentre.
Suicides de salariés qui n'avaient, poutant pas, été depistés comme "désespéré".

Le ghostwriter a écrit :

"Contrairement à ce que croient la plupart des gens, un suicidé n'est pas nécessairement un désespéré, il arrive qu'on se suicide par simple lassitude, parce que levant les yeux un jour d'été, on se trouve face à un ciel intensément vide, inutilement bleu-une excuse de nuage au lointain, est ce tout ce que le futur à offrir ?
les suicidés par lassitude meurent comme l'on descend à la plage..."

Les commentaires sont fermés.