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Homard Shérif

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Comme Voltaire face à Rousseau, Macron apparaît comme ce représentant de l’élite arrogante, déconnectée des aspirations du peuple et qui prétend moderniser la société par en haut. Il partage avec Voltaire la croyance que des autocrates éclairés peuvent décider de la forme que doit prendre la société, une croyance qui témoigne d’un mépris pour les gens ordinaires
Pankal Mishra


Le ruissellement ?

Le premier de cordée ?

Les profits d’aujourd’hui font les emplois de demain ?


Non, les profits d’aujourd’hui font les super-profits de demain et sans passer par la case emploi.


Un léger coup d’accélérateur en 2020 (février ?) nous propulsera bientôt : La glorieuse stagnation est la dernière frontière et la récession le minimum vital pour les nécronomistes qui savent survivre en style au moins aussi bien que Keith Richard, y compris dans les trous noirs où l’on se meut non dans l’espace mais dans le temps.


Ce qui n’est visiblement pas le cas de François de Rubis et de sa femme Lady Gala cheveux platine et sèche-cheveux plaqué or qui venaient d’apprendre la loi du score que connaissent tous les déshérités et autres sans-dents : décrocher revient à aller embrasser le dur caniveau de la terre. Il s’agite désormais tel un bobo insomniaque, un vain grain de vanité, une ombre dont le seul silence de ses pairs aurait pitié.


Car le homard perd seul lorsqu’il est englouti par le tsunami de la colère populaire. La transition intestinale qui fait suite à un bon repas n’est pas une transition écologique mais nécrologique. Enfin, j’espère…(qu'ils ont aussi refait les WC)


Adieu l’ennemi

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