Une de mes amies vient de partir emmené par le coronavirus, l’écrivaine réalisatrice Sarah Maldoror.
Je l’avais rencontré peu de temps avant la sortie de Crise et Mutation et m’avait l’immense honneur de venir à une dédicace.
J’avais été très impressionné par cette femme d’une immense culture qui avait eu en cadeau de mariage une REVOLUTION, la révolution angolaise dont son mari le poète Mario Pinto de Andrade avait été un acteur très important.
Sarah m’avair raconté son histoire avec les blacks panthers, ses cours de cinéma à Moscou avec les anciens maîtres du cinéma russe.
Un jour, alors nous déjeunions et que nous parlions d’Angela Davis, elle avait sorti son téléphone qu’elle m’avait passé et je m’étais retrouvé au téléphone avec Angela Davis…
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Commentaires
A quelque chose, malheur est bon :
Comme il « faut » soutenir les marchés locaux, je me suis pointé à l’union maraîchère genevoise, entourée de colza en fleurs.
J’ai donc pris la calasse à l’entrée que j’ai bien remplie ->
il y a longtemps que je n’avais mangé de tomates aussi bonnes; des cœurs de boeuf bien goûtues, charnues, tendres et mûres.
Du coup, en acheter dans une grande surface me paraît presque un hérésie.
La première vague est donc aussi une vague verte, car nous sommes nombreux à avoir ce réflexe de proximité. Vert tendre comme les frondaisons, et vague comme les certitudes de la msm, encore une fois au top de la niaiserie, fin de règne oblige.
Bon week-end et chauve-qui-peut
muzik
My friends are dead
https://www.youtube.com/watch?v=Tvh_Qp3z9bg