Ce n’est plus le maître des lieux qui est le maitre du jeu mais le maître des jeux à l’heure du capital fictif qui devient le maître des lieux qui ne sont plus que virtuels ou dans le cloud des GAFA.
Naguère, aux galères, la cadence à suivre était indiquée et le fouet bien appliqué aidait les malentendants à se mettre à l’unisson. Un tel effort est désormais inutile. La dépendance de forçats des temps présents ne connait aucune faille. L’imagination de la Money Power est sans limite. Par veulerie à la Trump ou par cynisme comme Goldman Sachs et la bande…Sur le fond, ils ont raison, nos vies ne sont que le fruit de banquiers centraux non élus et conseillers par leur soin.
Sur les chaînes infos, c’est la Nécronomie au quotidien. Nous devrions monter un logiciel de décomposition du cadavre sur écrans pour la suivre en temps réel avec nos analyses.
Lorsqu'après l’humiliation de Pearl Harbour et le passage en économie de guerre pur commandes de l’Etat et qu’il a fallu par la suite reconvertir son économie de guerre en économie de Marché, les USA ont mis le paquet en vendant au monde entier son consumérisme totalisant via les Procter et Gamble. et consors en multipliant nos besoins tout en nous acculturant à leur mode de vie et goûts. Désormais, nous avons le choix entre une dislocation de l’Eurozone ou le fédéralisme dont ne veulent pas les peuples. Parlez en aux polonais qui gueulent contre les réfugiés ukrainiens et les incitent à revenir au bled…coupables de profiter de leurs avantages sociaux et de leur générosité…
L’administration américaine entend recourir massivement aux déficits et à la dette, en répercutant le coût sur ses partenaires, y compris l’UE. Tout le monde peut le comprendre… Pustula va capituler devant le masculiniste…Personne ne peut se passer du créateur de la bulle, ne serait-ce que pour comprendre comment fonctionne le National-libéralisme, Nationalisme pour les pauvres et libéralisme pour les riches….
Déduction faite du fait que les 7 trillions de dette des USA doivent être refinancés à des taux qui sont certainement inférieurs aux actuels, donc une certaine secousse estivale est à budgétiser aujourd’hui, si la tendance seulement pour 2026-2028 – c’est-à-dire ce qui reste de l’administration Trump – est celle d’une expansion des déficits et de la dette digne des années de Bidenomics. Voilà le bulletin météo….