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élections - Page 2

  • Social Democracy is Dead

     

     

     

    elections,pays bas,social liberalisme,social democray,nationalismeContrairement à ce que je lis

    Les pays bas ne disent pas stop au populisme surtout quand on pense que

    les Pays Bas sont une des meilleures économies avec l’Autriche de la zone euro

    Geert Wilders gagne 4 sièges avec un programme qui tenait sur une feuille : Désislamiser le pays et fermer les mosquées.

    Pour le reste il faut noter la poussée des verts et de D66 le parti bobo macronien le centre du centre de ceux qui sont favorables à tout : Immigration, cannabis, amour libre, LGBT, Power to the people.

    Reste donc Social libéralisme, libéralisme et écolo

    Social-démocratie is Dead

    Finalement la sociale-démocratie Wallsienne, on ne l’aura jamais connu en France, nous allons sauter une étape ou faire un pas en arrière ;

    YYYYYOOOOOuuuuuuuuPPPPIIIIIIIIII

    Le grand Toboggan mène au grand Spaaaaaashhhh

     

  • Marketing de la peur

    Finalement, dans la dernière ligne droite, la candidate « de gauche » aura utilisé les mêmes ressorts que son adversaire; sans toutefois, en recueillir électoralement les fruits, faute d' avoir oublier les principes de base :

    La peur, qualifiée d’émotion négative, naît de la prise de conscience d’une menace qui met un individu en danger. Elle a pour fonction vitale d’avertir l’organisme et de le mobiliser pour la fuite, la défense et la protection. Utiliser les ressorts de la peur dans le cadre de campagnes marketing électorale est assez fréquent, notamment dans les pays anglo-saxons (Bowling for columbine).

    La relation existant entre la peur et la persuasion sociale a fait l’objet de nombreuses recherches empiriques en psychologie et en marketing social.

    Toutes les études démontrent qu’une communication qui provoque un niveau élevé de peur est plus efficace que celle qui en génère un faible.

    En période de stagnation, le marketing de la peur est basé sur le fait, que l'acte d'achat, devient comme une sorte de rituel d’exorcisme et "dépenser son cash : en profiter de son vivant, sans le stress d’avoir à assurer pour sa descendance »
    Pour certains « Shopping addicts », l’acte d’achat, en pareilles circonstances, est comparable à un orgasme…
    Le Marketing de la peur peut, dans certain cas, générer des relais de croissance durables.
    Ainsi en France, en 2007, d’après les chiffres de l’ANPE, deux secteurs dans notre économie morose sont en hyper-croissance depuis plusieurs années (+de 30% par an) :
    Le marché du recouvrement et le marché de la sécurité des biens et des personnes.
    Nous rapprochons-nous de la zénitude ?

  • Marketing politique et logique économique

    Une élection doit concilier le rêve des matérialistes dépressifs et les desseins, encore en sommeil de Dieu, des croyants.
    C’est ainsi que les promesses électorales et les programmes qui en découlent, contiennent quelque chose de divin.
    Une sorte d'utopie collective qui loin de redouter la réalité, la traite simplement comme une suite de tâches et d'interventions nécessaires pour nous faire avancer vers un monde économiquement meilleur après la chute des idéologies.

    Bien que chacun s’accorde à constater que les difficultés dont souffre le pays soient réelles, nous nous apprêtons, une nouvelle fois, a confier notre destin à quelqu’un qui forcément, sera plus présent sur Second Life que dans la vie économique réelle puisque aucun candidat n’en est issu.

    Politicien serait une occupation à temps plein, qui ne laisse ni aux nantis ni aux pauvres le temps d’exercer un métier, donc de travailler et d'appartenir à la vraie vie économique.
    Les plus pauvres ne sont ils pas obligés de devenir délégués syndicaux à temps plein pour assurer des revenus ?

    Il semblerait pourtant logique, en ces périodes troublées ou tous les indicateurs sont au rouge ( récession à la fin de l’année aux States, perspective de baisse de la croissance en Europe dés 2008, situation de nos exportations catastrophique etc...)
    Oui, il semblerait poutant logique que l’on ne confie pas les rênes d’un pays à des hommes ou des femmes qui n'ont pas eu, durant leur vie, d'activités liées au commerce et dont les programmes sont financés, en quasi- totalité, par la croissance.
    Cela signifie tout simplement, que l’Elu, quel qu’il soit, commettra des actions qui auront pour lui un autre sens que pour les autres, mais qu’il se consolera, comme son prédécesseur, de n’importe quoi pourvu que ce n’importe quoi puisse être résumé en une idée exceptionnelle.

    N’ayant crées ni valeur ni emploi dans le monde réel à titre personnel, les politiciens éligibles ou non, se sont contentés, pour lors, dans leur carrière de regarder l’avenir dans le rétroviseur de l’opinion public, sans jamais avoir à jouer un coup d’avance (merci Al Gore, merci Hulot) qui aurait pu être alimentée par une vision éco/nomique/logique.

    A la beauté même d’une femme, on ne peut nier que celui qui l’accompagne ajoute ou enlève quelque chose ;
    C'est aussi vrai pour la force d'un pays.