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crash - Page 16

  • Le coup du Double Dong…

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    Donnez-nous des cercueils de bronzes pour les dieux de l'instant
    Jean Néplin RIP


    Sanctifié dans le monde entier, nommé jusque dans nos contrées : commandeur de la Légion d’honneur, Alan Greenspan l’ancien gouverneur de la Fed, celui qui disait avec humour devant des parterres de journalistes :
    « si vous m’avez compris, c’est que je me suis mal exprimé »
    Oui, Alan Greenspan, l’icône de la Money Power internationale va se retrouver brûler dans peu de temps , tant tout le monde lui incombera la responsabilité de la Très Grande Dépression ;
    N’a t-il pas perdu son sang-froid après le 11 septembre en regardant Wall Street s’effondrer ?
    Et n’a –il pas surestimé Les effets de l’attentat en laissant des taux d’intérêts trop bas et en laissant s’installer le crédit facile ?
    Traduction : Ben Laden n’aurait-il pas réussi à détruire l’économie américaine
    Avec la complicité involontaire d’un paniqueur ? ? ?

    Oui, c’est vrai, Alan a perdu son sang-froid, il a pensé que nous étions dans un scénario de krach total et qu’il allait falloir aider l’économie américaine à se relancer…
    D’autres diront également qu’il avait perdu la tête bien avant en laissant avec des taux bas se propager la bulle Internet et le Krach qui a suivit…

    Peu importe, la dette des pauvres américains a été titrisée (crédit maison,voiture,carte de crédit) et répandue à travers le monde.
    Quand on vous disait qu’ils avaient inventé le Marketing…

    Nécronomiquement votre

  • Prédiction Nécronomique

    En introduction à la
    la Très Grande Dépression et à la
    Perte du bonheur dans les démocraties de marché -conférence fantôme du...


    Toutes les économies basées sur la consommation fonctionnent
    de la même façon :
    Il s’agit de récupérer en recettes des marchés ce qu’on verse en salaires.
    La valeur ultime du travail est une valeur consommable et le marché en détermine le prix selon ses propres critères de qualité et d’utilité que l’on appelle aussi : les lois du marché.

    La première vertu reconnue au travail, c'est qu'il permet de consommer.

    Dans les démocraties de marché, le bonheur des citoyens dépend de la consommation qui dépend de la croissance économique qui dépend de la consommation (70% du PIB) qui dépend elle même du bonheur des citoyens.
    La boucle est bouclée...

    En période de Très Grande Dépression (2008-2012), a n’être plus que le support d’une consommation amputée par les problèmes de pouvoir d'achat, le travail va perdre pour beaucoup de citoyens du marché, un intérêt que seuls lui reconnaîtront le patronat dont il assure la richesse et le gouvernement dont il assure les recettes fiscales.
    Que va-t-il rester, en pareille période, pour beaucoup de citoyens du marché
    des illusions engrangés par le bonheur consommable payable à tempérament
    si les conditions de crédits se durcissent ?
    Le stress, les sépultures d’entreprises et leurs suicidés… ? ? ?

    La BCE (probablement en juin) sera contrainte de baisser ses taux pour fluidifier le crédit par trop restreint par les banques pour les consommateurs et les entreprises (rachat, LBO), conséquence de la crise mondiale du crédit;
    Ainsi, les gouvernements presseront le citoyen du Marché à survivre au dessus de ses moyens afin de soutenir une consommation qui commence à décroître tout en résorbant des déficits abyssaux.
    Il va falloir maintenant perpétuer la survie d’une économie qui met fin aux nôtres (nos économies)...

    En résumé :
    consommer beaucoup et se consumer à petit coût

    Nous sommes authentiquement conviés à nous appauvrir à l’endroit même de notre richesse afin d’enrichir une économie mondiale dont nous sommes exclus.

    Nécronomiquement votre

  • Maman...Le bouton du détonateur ne marche plus...

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    Premier a avoir appuyé sur le bouton de la baisse des taux, Ben Bernanke, le patron de ce que l'on appelait autrefois "la toute puissante Federal Reserve" ne peut que constater son impuissance comme titre le très sérieux telegraph de ce jour :


    The verdict is in. The Fed's emergency rate cuts in January have failed to halt the downward spiral towards a full-blown debt deflation. Much more drastic action will be needed.


    Le verdict est tombé :
    La Federal reserve a échoué et n'a pas réussi à endiguer la spirale de la déflation.
    Hé oui, l'explosion de la bulle Internet, c'était du pipi de chat...

    L'explosion de la bulle immobilière mondiale est telle rien ne peux stopper la chute des prix dans l'immobilier et l'agonie du dollar, la bulle est mondiale, tous les pays seront impactés (europe de l'est, Asie, les Antipodes...)

    Mais il ne suffit pas de réduire les intérêts, comme viennent de le faire les prêteurs américains...Si la personne a acheté une maison le double de son prix, quelques soient les intérêts, elle l'aura toujours payé le double...

    Imaginez l'impact psychologique que cela va représenter sur des millions de personnes qui se sont ainsi appauvris en croyant s'enrichir...je ne parle même des 3 millions qui ont déjà perdu leur logement mais des dizaines d'autres millions répartis sur la planète,ceux qui vont devoir continuer à travailler pour payer quelque chose qui chaque jour perd de sa valeur...

    La situation est devenue à ce point incontrôlable, que Ben Bernanke en appel maintenant aux banques qui ont déjà réduit leurs intérêts des crédits, pour leur demander maintenant de faire des réduction du capital dû...Oui, vous avez bien lu...du capital dû.
    Le président de la banque centrale américaine a appelé ce jour les banques à une "réponse vigoureuse" pour infléchir les saisies immobilières, en les incitant par exemple à réduire le capital dû par les ménages étranglés par leurs emprunts "subprime".

    "Réduire les procédures de saisies qui peuvent être évitées permettrait de promouvoir la stabilité pour les ménages, les quartiers, et l'ensemble du pays. Même si les prêteurs ont intensifié leurs efforts (...), on peut, et il faut en faire plus", a estimé M. Bernanke qui commence sérieusement à paniquer.

    Inutile de vous dire que les banques dont certaines luttent pour leur survie ne voient pas cela d'un très bon oeil...Mais ont-elles encore le choix..???
    Les freins du camion chargé d'essence viennent de lâcher...Il va falloir être créatif...

    Nécronomiquement votre