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economie - Page 42

  • Identité nationale : Les entretiens fictifs de Nécronomie Internationale à Istanbul

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    Keynes : «Les investissements d'aujourd'hui sont les emplois de demain. »

    JPC : «Les investissements faits ici  sont les emplois de demain ailleurs. Nous sommes passés d'un monde où le capital importait le travail à un monde où le capital s'exporte vers le travail, là où il est le moins bien payé.»

    Keynes : «Mais l'identité nationale ???»

    JPC «Cela fait belle lurette que les profits faits par les entreprises nationales ne servent plus au bien commun d'un pays et de ses habitants. Si l'on veut véritablement ouvrir un débat sur l'identité nationale, posons le au niveau des entreprises, en quoi sont elles accélérateurs du mieux vivre dans leurs pays d'origine? La vérité, c'est que le consommateur soit blanc , bleu, rouge, noir ou jaune, la Money Power s'en fout. A l'inverse de l'immigré, le travailleur localisé n'est pas victime du racisme, il peut donc s'habiller comme il veut et pratiquer la religion de son choix et cela évite de perdre du temps sur de grands débats comme l'identité nationale. Définitivement, l'entreprise est faite pour créer des richesses pas des emplois.»

    Keynes : « Tu me scotches... »

     

    JPC : C'est mon métier...Je suis nécronomiste et fier de l'être...Un ptit Raki ???

     

     

  • Le Bûcher des vanités

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    Alors que notre monde économisé devrait organiser un autodafé de la consommation jetable à la manière du dominicain Jérôme Savonarol organisant à Florence le bucher des vanités où les citoyens durent apporter l'inutile lucratif (exilés fiscaux) et licencieux (Tout ce qui ne va pas dans le sens d'une nouvelle croissance), nos dirigeants continuent de mettre en scène des feux qu'ils ne peuvent désormais plus éteindre, à la manière d'un Néron transformant le grand incendie de Rome en ode à l'amour (Carla is the Market).

    Ho ho turbulentes flammes

    Ho, ho omnivore savoir,

    Ho, ho Hélène de Troie

    Ces roses rouges vermeilles sont pour toi (et la reprise économique de nos chaussettes...pour nous)

     

    A moins que, désormais bloqués par les persiennes mentales de leurs Egos et de leurs mensonges régaliens et reaganiens, ils optent involontairement pour un destin à la Pinocchio qui prit feu en se masturbant (EPAD).

    Don't believe the Hype...

    Nécronomiquement votre

     

     

  • Sémantique transculturelle

     

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    "Dans le langage familier, le piston est un avantage obtenu grâce à l'appui de certaines relations dans une entreprise ou une administration. On dit aussi « se faire pistonner »

    Il est à noter que cette expression européenne revêt un autre sens en Asie.

    La notion de géolocalisation est donc très importante, tout comme la notion de pouvoir d'achat dans l'emploi de ce mot.

    Ainsi se faire pistonner à la villa Médicis ou à l'EPAD ne signifie pas la même chose que se faire pistonner dans un bordel à Bangkok.

    Il convient donc d'être prudent dans l'usage de cette expression.

     

    Nécronomiquement votre