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  • Coma économique et croissance anémique...

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    Special dedicace à Huzun

     

     

    NGC 4921 est une galaxie spirale dans l'amas de coma située dans la constellation de la Chevelure de Bérénice. Elle se situe à environ 320 millions d'années-lumière de la Terre.

    En 1976, l'astronome canadien Sidney van den Bergh considéra cette galaxie comme "anémique" à cause de la faible fréquence de formation de nouvelles étoiles. Il nota qu'elle avait un rayonnement inhabituellement bas et montrait des bras spiraux remarquablement diffus. Elle reste néanmoins la plus brillante galaxie spirale dans l'amas de Coma.

     

    Après la désormais fameuse croissance négative, voici venir la croissance ANEMIQUE...

    (La décroissance étant une idée de bobo blanc urbain d'Europe de l'ouest comme chacun sait...)

     

    Vous connaissez tous l'histoire de pince mi et pince moi qui sont dans un bateau et pince mi qui tombe à l'eau...Que reste t'il ?

    La vérité est que pince moi (la money power) est le capitaine du bateau.

    Il est le garant de l'équilibre du tout et de la cohésion du navire.

    Ce qu'il ne vous a pas donné en salaire de marin, il vous l'a offert en crédit facile et autre bonheur payable à tempérament dans les ports.

    Ce système est mort et un business model est à réinventer ...

    En attendant le capitaine Pince moi, vous demande en pleine mer pendant un ouragan de quitter le bateau.

    C'est un ordre et c'est le capitaine, vous devez obéir, il en dépend de la survie du navire...

    Le job Crash que nous vivons en est la parfaite illustration.

    Les prétendues lois pour protéger le consommateur des abus du crédit masquent en réalité le choix clair de protéger désormais les banques contre les pauvres qui ne remboursent pas...Ce qui ne dérangeait personne lorsque la titrisation était possible et que l'on pouvait envoyer la bombe à quelqu'un d'autre à travers le monde (actif toxique)

    Verra t'on cette année, des pauvres jetés des pierres sur l'équipe cofidis au tour de France ???

    La vraie question est : comment faire tenir les crevards tranquilles en attendant le miracle de la bulle verte ou que la Chine prenne le relais de ses exportations par sa consommation intérieure :

    2030 pour le gouvernement Chinois (eh oui, ça prend du temps de transformer 1 milliard de paysans en bobos...)

    Qui aujourd'hui pourrait prétendre que dans 20 ans, il aura le même travail et partagera sa vie avec le même conjoint...dans un monde ou l'emploi salarié et ses congés payés est amené à disparaître au profit de l'auto-entrepreneuriat ou l'on devient esclave de soi-même (free of charges).

    Dans ces conditions, le business du crédit qui portait la croissance ne permettra plus de créer de la croissance artificielle car il est irraisonnable de prêter de l'argent sur d'aussi longue durée si les biens que l'on saisit perdent de la valeur.

    Les subprimes l'ayant assez largement démontré.

    Au delà de la crise économique se profile donc une crise sociétale.

    Bref que met on entre la religion et la consommation dans les nouveaux équilibres mondiaux sans l'apport du bien être issu de la consommation payable à crédit et sans augmenter les salaires ?

    Quid entre le string et la burqa...La poêsie, la philosophie...l'ultra-violence ?

    C'est à cela qu'il va falloir répondre...

     

     

     

     

  • NECRONOMY POWER

    Nous l'avions annoncé dés le 24 10 2008 ( Voir note : la Fête du slip est terminée...)

    A Stephan, nécronomiste assidu...pour l'info....

    Pour Alan Greenspan, l'ancien timonier de la Réserve fédérale américaine, les ventes de slips sur le territoire américain sont un indice économique comme un autre, à l'image des ventes de logements, de l'indice ISM manufacturier ou encore des chiffres du chômage. Comme le rappelle un article paru sur le Huffington Post, celui qu'on surnommait le «gourou des marchés» et «Maestro», avant que la crise des subprimes ne vienne entacher sa réputation, s'intéressait tout particulièrement aux données dites «prolétaires» pour prendre le pouls de l'économie. Les ventes de slips en faisaient partie. Il estimait ainsi que l'homme, contrairement à la femme, considérait cet achat secondaire, et qu'il était prêt à faire l'impasse si les conditions économiques se détérioraientOr selon des données de la société de recherche Mintel, les ventes de sous-vêtements pour hommes devraient chuter de 2,3% en 2009, ce qui, si on reste à la logique de Greenspan, n'augurerait rien de bon pour l'économie. «L'indice du slip» serait-il donc l'indicateur économique ultime ? Selon Matt Hall, un porte-parole du fabricant Hanesbrands qui est cité par le Huffington Post, rien n'est moins sur. «Les récessions ont un impact sur toutes les catégories de vêtements et les sous-vêtements des hommes n'échappent pas à la règle» indique-t-il, ajoutant que les hommes «ne portent pas moins de sous-vêtements qu'autrefois». Sauf Greenspan peut-être.

    SONDAGE NECRONOMIQUE DU JOUR :

    Que penser de tout cela ???

    A) Greenspan le paniqueur, l'homme qui a abreuvé le marché de liquidités nous prenait pour des dégénérés ???

    B)Il a raison nous en sommes là, les hommes ne changent de calbut qu'en periode de croissance....

    C) et les femmes la dedans ...??? (coincées entre le string et le tchador, c'est pas évident...)