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banlieue et revolution

  • Cash burning et Virtuelle Arlette

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    Il est désormais établi, que dans les banlieues, théâtre ultime du triomphe des marques et de la mondialisation, l’on préfère voter pour des hommes politiques qui regardent l’avenir dans le rétroviseur d’une Mercédès que pour ceux qui regardent l’avenir dans le rétroviseur d’une Lada.

    Les principes du marketing n’ont laissé à l’homme politique que l’ambition d’être vendu pour être acheté comme n’importe quel produit.
    Les révolutionnaires jouent ainsi selon les règles d’un marché dont les fondements leurs sont totalement étrangers et imcompréhensibles.
    En devant s’acquitter d’une dette de plus d’un millions d’euros, fruit de sa campagne d’affichage nationale d’une semaine en décembre (1milllion deux), qu’aucun marketeur honnête n’aurait pu lui recommander, Arlette vient de rééditer la performance des Start up de la bulle Internet , qui dilapidaient l’argent des fonds d’investissement en publicité 4 par 3 qui fleurissaient sur les murs du pays dans de coûteuses campagnes sans efficacité aucune.
    On parlait alors de « cash burning » (argent cramé)
    Il ne sert à rien de dénoncer les gaspillages et les erreurs de management de telle ou telle entreprise pour les reproduire au sein même de sa propre organisation.

    C’est la preuve définitive que l’on ne peut combattre efficacement un monde que l’on ne comprend pas.
    Les banlieues, où le sens du bizzness, est considéré comme le première des vertus, s’interrogent : « A quoi sert une femme juste si elle se fait siphonner son cash à la moindre négo avec des menteurs professionnels… ?. »
    Arlette, tu es dans le virtuel…et tes idées ne sont pas près de passer le périphérique…