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argent dilapidé

  • Comme dirait Greta

     

    Ainsi JPC avait cryptographié son nom et décidé pour un temps de s'isoler hors la compagnie choisie de ceux qui étaient revenus de toute morale obscurantiste ou moderniste, de toute mortification ou mollesse, de tout simulacre de repentir ou succédané d'espoir.

    Ce qui laissait peu de monde à l'arrivée. Le monde devenait métanoïaque, raison pour laquelle Facebook changeait de nom.

    Comme l'avait prophétisé l'ami Vincent Directeur du protocole en exil de ce blog « le virtuel sera supérieur au réel »

    Comment en aurait il pu être autrement ?

    Alors que dans le passé, la création de capital fictif servait principalement à accompagner et à soutenir le processus de valorisation capitaliste – comme par exemple le financement préliminaire à de grands investissements –, aujourd’hui, avec l’effondrement des fondements de ce processus, son rôle a changé. L’accumulation du capital a commencé à se fonder principalement non pas sur l’exploitation de la main d’œuvre dans la production de biens, mais sur l’émission massive de titres financiers tels que des actions, des obligations ou des dérivés. Ainsi, le capital fictif s’est transformé en moteur de l’accumulation du capital tandis que la production de biens pour les marchés concrets s’est dégradée en variable dépendante.

    Sa base n’est pas l’exploitation réelle du travail dans la production de biens, mais l’attente de bénéfices futurs dans l’économie réelle, qui devraient en fin de compte découler de l’exploitation de la main d’œuvre supplémentaire. Mais dans la mesure où cette attente, face au développement des forces productives, ne peut être satisfaite, les droits doivent être constamment renouvelés, et le recours anticipé à la valeur future doit être de plus en plus repoussé dans l’avenir. La conséquence en est que la masse des titres financiers est soumise à une contrainte de croissance exponentiellement accrue. C’est pour cette raison que, depuis des décennies, le capital sous forme de titres financiers dépasse largement la valeur des biens immobiliers produits et vendus. L’opinion publique identifie les marchés financiers comme cause de la crise, mais la réalité est qu’une fois les bases d’évaluation dissoutes, l’accumulation de capital ne peut que se poursuivre de cette manière.

    Comme je le dis souvent le modèle des États est devenu celui des entreprises cotées au Nasdaq : Une valorisation basée sur du travail non consommé et des ventes futures.

    Le virtuel est devenu supérieur au réel tout comme le capital fictif est devenu supérieur au capital.

    Dans ce contexte, il n'y a juste qu'a étudier les positions des banquiers centraux et des agences de notation. Le reste c'est du blabla comme dirait Greta !

    X13X

  • Cash burning et Virtuelle Arlette

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    Il est désormais établi, que dans les banlieues, théâtre ultime du triomphe des marques et de la mondialisation, l’on préfère voter pour des hommes politiques qui regardent l’avenir dans le rétroviseur d’une Mercédès que pour ceux qui regardent l’avenir dans le rétroviseur d’une Lada.

    Les principes du marketing n’ont laissé à l’homme politique que l’ambition d’être vendu pour être acheté comme n’importe quel produit.
    Les révolutionnaires jouent ainsi selon les règles d’un marché dont les fondements leurs sont totalement étrangers et imcompréhensibles.
    En devant s’acquitter d’une dette de plus d’un millions d’euros, fruit de sa campagne d’affichage nationale d’une semaine en décembre (1milllion deux), qu’aucun marketeur honnête n’aurait pu lui recommander, Arlette vient de rééditer la performance des Start up de la bulle Internet , qui dilapidaient l’argent des fonds d’investissement en publicité 4 par 3 qui fleurissaient sur les murs du pays dans de coûteuses campagnes sans efficacité aucune.
    On parlait alors de « cash burning » (argent cramé)
    Il ne sert à rien de dénoncer les gaspillages et les erreurs de management de telle ou telle entreprise pour les reproduire au sein même de sa propre organisation.

    C’est la preuve définitive que l’on ne peut combattre efficacement un monde que l’on ne comprend pas.
    Les banlieues, où le sens du bizzness, est considéré comme le première des vertus, s’interrogent : « A quoi sert une femme juste si elle se fait siphonner son cash à la moindre négo avec des menteurs professionnels… ?. »
    Arlette, tu es dans le virtuel…et tes idées ne sont pas près de passer le périphérique…