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crimes

  • A propos d'Annecy

    hhh.jpgLes nécronomistes considèrent la psychopathologie des différentes folies meurtrières comme non plus la métaphore mais l'élément crucial des cycles économiques imposées sous l'égide du capitalisme globalisé. On comprendra aisément que la compréhension du Burn out sociétal et social est un préalable à la compréhension des événements que nous vivons.

    Dans toutes les démocraties de Marché, il faudrait investir dans des centres de santé mentale.

    Voici venir le temps des surgissements désordonnés burnoutés du capitalisme globalisé comme celui qui a buté Shinzo Abe au Japon pays du châtiment des neufs orifices où les salaires n'augmentent jamais.

     

     

     

     

  • Crimes et châtiments

     

     

    krisis,crimes,crise,mutation,retraite par capitalsaition,futur,Les mots « CRIME » ET « CRISE » partagent la même étymologie. Les deux proviennent du grec krisis qui signifie « jugement, sélection, séparation ». On définit une crise comme une situation dans laquelle les normes traditionnelles perdent leur emprise sur la réalité, alors que les nouvelles normes ne sont pas encore en vigueur. Lorsqu'il y a crise, donc, la loi naturelle ne règne plus et le crime se propage.
    Faire porter la responsabilité de la crise aux victimes fait partie du jeu : vous êtes coupables de ne pas être capables de vous soumettre. vous subirez donc le chantage de la dette et la tyrannie de l'austérité.
    De la même manière, la « confiance », mot magique de toute crise financière, répété comme une incantation par tous les larbins de l’économie de la dette (journalistes, économistes, hommes politiques, experts), n’est pas seulement garantie par l’énonciation ; elle a besoin de gages corporels et incorporels.
    Dans l’économie de la dette, vous êtes condamnés à devenir capital humain ou entrepreneur de soi. Ce qui signifie assumer les coûts et les risques d’une économie flexible et financiarisée, coûts et risques qui ne sont pas seulement, loin s’en faut, ceux de l’innovation, mais aussi et surtout ceux de la précarité, de la pauvreté, du chômage, des services de santé défaillants, de la pénurie de logements, etc. « Faire de soi-même une entreprise » signifie se charger de la pauvreté, du chômage, de la précarité, du revenu du RSA, des bas salaires, des retraites amputées, etc., comme s’ils étaient des « ressources » et des « investissements » de l’individu à gérer comme un capital, « son » capital .
    Dans ce cadre la retraite par capitalisation présente deux avantages :
    - Renflouer les banquiers et les assureurs
    - Transférer la responsabilité de l’épargne ou de l’incapacité d’épargner sur les individus.
    Joli crime sur les plus démunis !!!