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neooroliberalisme

  • Nous n'avons pas peur de vivre dans les décombres

    Quand un psychotique déprimé approche de la guérison, enfin commence à entrevoir une possibilité de guérison, la maladie lance une attaque désespérée et c'est alors qu'il risque le plus de se suicider.

    On pourrait dire que le capitalisme en est actuellement à ce point et dispose pour la première fois avec la succession des crises d'un savoir qui pourrait aussi bien entraîner notre destruction que de s'affranchir des restrictions qu'elle s'impose aux citoyens des Démocraties de Marché pour les transformer en débiteur producteur jusqu'à la mort. La consommation devenant un objet de désir pour les non producteurs excepté les retraités actifs non ehpadés.

    Pour le reste comme je le dis souvent , nos vies ne sont que le fruit de scénarios de banquiers centraux ou plutôt d'un le patron de la FED, raison pour laquelle on a installé Christine Hagarde experte en natation synchronisée

    à la tête de la BCE.

    Les chiens de garde de la Money Power ont poussés les boutiquiers gérants minoritaires à inventer la démocratie sans peuple.

    Le néoordoliberalisme demande de l'autorité, de l'ordre et de la DISCIPLINE....

    Apres les rsistes au boulot, vous verrez poindre prochainemenent une loi sur les fake news pour organiser la censure sur le net.

    Les forces de la négation et de la mort économique sont lancées dans une tentative suicidaire désespérée sans même comprendre que les révoltes auxquels nous assistons ne sont pas le fruit d'une idéologie mais d'un refus d'un quotidien oppressant. D'ici peu de temps, plus personne ne croyant la narration officielle, les consommateurs citoyans cèderont à une panique paranoïaque si les dirigeants occidentaux ne cessent de voir le monde tel qu'il devrait être en maximisant le pouvoir créancier mais tel qu'il est et laisser un peu de pouvoir aux débiteurs. Sinon comme l'écrit Lemaire du village global dans son roman :  Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus : “Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais”. »

    Le sol n'est jamais loin pour celui qui désire se soumettre