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travail fictif

  • La taupe et le serpent

     

     

     

     

    le-serpent-se-mord-la-queue.jpegEn vérité François Fillon n’a pas été victime d’une taupe mais d’un serpent monétaire.

    A l’heure des panama papers, des paradis fiscaux et autres pognonleaks, les tunnels structurés de la taupe ont été remplacés par les ondulations infinies du serpent.

     La taupe a fait son temps. Son extinction, dans le domaine de la zoologie politique, serait due à sa cécité qui la rend inapte au calcul.

    On mesure avec  le penelope gate combien ce handicap ne peut être comblé.

    Pourtant, si cet animal inspirait de la sympathie, c’est justement parce qu’il est incapable d’intrigues. Armée de sa seule obstination et guidée par l’intuition, la taupe creusait sans discontinuer, sans jamais perdre courage, dans l’espérance de déboucher au bon endroit.

     Le serpent est une tout autre bête. Il ne creuse pas mais glisse. Il avance par « ondulations », de droite à gauche et de gauche à droite, à l’image de l’opportunisme.

    Bref du gaullisme social à l’ultra libéralisme. En hésitant pas à dire que la gauche a renoncé à la croissance alors que les théoriciens de la stagnation séculaire, Larry Summers, Robert Gordon et Patrick Artus en France sont à mille lieux d’être des économistes ayant une sensibilité de gauche (voir note du 15 04 2015)

    http://necronomie.blogspirit.com/archives/2015/04/index-2.html

     

    Lorsque le serpent monétaire se mord la queue, sa tête gonfle.

    C’est précisément, ce qui est arrivé à Fillon

    PS note inspirée des travaux de Crisso et Odeteo zoologistes italiens bien connus.

    Théo Rikment