Renouant avec l’insouciance de ceux qui ont plus bu qu’ils n’ont lu, donc cuvé plus qu’ils n’ont vécu, j’ai passé la soirée avec Marla Singer, grande déconnectée devant l’éternel, qui évoquant le gel des salaires souhaité par la Money Power me fit cette constatation pleine de bon sens qui ne visait ni Nabila ni Trierweller.
« Ce qui nous rentre dans le cul leur sert de dentifrice »
Pouvait-il en être autrement dans ce long chemin de croix composé de radiations d’Assedik park, de formation déformante et d’apprentissage à la soumission pour les plus jeunes qui seraient sous peu remilitarisés femmes et hommes pour faire redécouvrir l’existence d’une nation en décomposition.
Renzi cosmétique à la mode perdait de son éclat, les Abenomics que Sarkozy avait étudiés avec avidité n’avaient pas empêché le retour en récession du Japon. La baisse inattendue du cout du pétrole allait à l’encontre de la transition énergétique et du décollage de la bulle verte, la seule capable de sortir l’économie européenne de la stagdéflation.
La Draghinette hésitait avant de déverser des milliards constatant que la planche à billet ne produisait pas les effets escomptés.
Axiome nécronomique « En période de crise même les billets font la planche »
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