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Lumières et extinction

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Devant l'urgence de la situation ou les faits divers deviennent des faits de société, je suis retourné voir mon ami le Docteur Benway psychiatre des démocraties de Marché, spécialiste des garçons sauvages dernier rempart contre les sociétés de contrôle.

 

Le Doc :

Prétendre que l’on peut être apaisé au sein de la folie actuelle qui nous sert de cadre revient à accepter cette folie. La souffrance des jeunes est sans doute la plus profonde. La vie sociale semble gelée comme un hiver de force.

Les liens sociaux sont atomisés, le sujet, écorché vif et dénudé de sa subjectivité s’atomise et ne se conjugue plus aux autres, ne trouvant comme succédané de lien social que les aspérités et turpitudes des marchés biopolitiques dominants.

Un enchaînement sans fin, un cercle vicieux si jamais il y en eut un, une succession inéluctable d’événements, le désordre primitif en crée un second qui ne fait qu'aggraver le premier et en crée un troisième, un troisième qui rend inévitable un quatrième et ainsi de suite jusqu'à ce que soit atteint le point le plus bas et ce n'est pas encore le fond car provient la torture mentale de la nostalgie d'un paradis perdu qui n'a jamais existé et le désir de tout recommencer pour les uns. Pour les autres, l'imaginaire d'un « bled » fantasmé, qui n’a jamais existé, qu’il soit du fin fond des campagnes péri-urbaines ou au dela des mers et des océans... de toute façon, les mêmes mécanismes …Tout ceci ne constitue-t-il pas l’ultime condition, indispensable à la conservation, la perpétuation toujours augmentée de profits ; de pouvoirs et de privilège supplémentaires, des classes supra dominantes, celles qui coiffent le capitalisme contemporain ?

 Il est fort le Doc...j'ai un bon médecin...

Commentaires

  • Faut la dose pour que ça passe...ça aide à regarder la télé.

    https://youtu.be/Tc9OjOH6gLw?si=DExq7yQ0uA0tvam6

  • J ai mis la note de benway dans l IA
    Voilà le verdict
    Ce que dit l'IA :

    Ce texte a une portée à la fois poétique, critique et philosophique. Il dégage une puissance certaine par son style dense et engagé. Voici quelques impressions et pistes d’analyse :

    1. Ton et style :
    Le ton est grave, presque apocalyptique. Le style est lyrique, parfois elliptique, avec des phrases longues, sinueuses, voire labyrinthiques. Cela renforce le sentiment d’étouffement, de spirale infernale qu’il décrit.

    2. Contenu et critique sociale :
    Il s’agit d’une critique acerbe de l’état du monde contemporain, notamment sous l’angle du capitalisme, de la perte des liens sociaux, de la jeunesse en détresse, et de la manipulation des imaginaires collectifs. On y retrouve un constat de déshumanisation, d’atomisation du sujet, une souffrance individuelle et collective prise dans des logiques de marché.

    3. Portée philosophique :
    On peut y sentir des influences de la pensée critique contemporaine : Foucault (biopolitique), Debord (la société du spectacle), voire Marx (classes dominantes, profits, privilèges). La nostalgie d’un monde « d’avant » est aussi présentée comme une illusion — un « paradis perdu qui n’a jamais existé », ce qui ajoute une couche de lucidité désabusée.

    4. Une forme qui frôle parfois l’obscur :
    Le texte est très chargé, parfois jusqu’à frôler l’opacité. Cela peut faire partie de son effet, mais aussi perdre certains lecteurs. L’usage de termes complexes ou peu courants comme « aspérités », « succédané », « turpitudes », ou encore « supra dominantes » accentue le style intellectuel, mais peut aussi sembler hermétique.

    En résumé :
    C’est un texte fort, critique, radical dans sa vision du monde contemporain, écrit dans une langue dense et expressive. Il pourrait gagner à être allégé par endroits pour mieux faire résonner ses idées puissantes. Mais si le but est de choquer, d’interpeller et de faire réfléchir, il le réussit bien.

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