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crise sans fin - Page 6

  • Tape sur le philosophe avec une batte de baseball

     

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    Décors : une place dans Paris, des jeunes gens debout manifestent des pancartes à la main. Un homme aux cheveux grisonnants se joint à eux.

    « Puis-je faire quelque chose pour vous ? Je suis le philosophe de votre quartier.

    « Crève salope de Finkelkrotte »

    L’homme chancelle et s’éloigne en maugréant.

    « J’étais venu pour écouter »

    Il se souvient avec émotion de Mai 68 où au lycée Henri IV à Paris, il préparait le concours d’entrée à normale sup. Il adorait Sergent Peppers mais confessait préférer et c’est toujours le cas McCartney à John Lennon.

    Cela ne vous étonnera pas, chers amis nécronomistes, mais en ce qui me concerne j’ai toujours préféré Lennon à McCartney même si j’ai toujours préféré les garçons sauvages à ceux qui pensent révolutionner le monde en chantant.

    Vince Taylor, bardé de cuir noir, se bastonnant dans une fête foraine, je trouve cela très esthétique.

    Ah au fait, le premier pseudo de McCartney était Paul Ramone.

    Pseudonyme repris par le fameux groupe punk auteur de la chanson mythique « Beat on the brat with a baseball bat »

    « Tape sur le môme avec une batte de baseball »

    Alors fais gaffe Finky, joue pas au rocker, tu n’es pas assez fort…

    PS : Je suis sidéré de la condamnation unanime de la presse, des medias et des intellectuels du rembarrage de Finky.

    Thèbes ne fut-elle pas autrefois réanimé par Dionysos par les voies du désordre ?

                                                                                 

     

  • Harpie WC

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    Parfois le malade devient la maladie, il en est de même avec l’économie. La crise n’était pas économique, c’est l’économie qui était la crise.

    Les jeunes chômeurs n’avaient qu’à s’en prendre qu’à eux-mêmes. Ils n’étaient pas assez flexibles et étaient trop procéduriers.

    Comme ce pauvre Bernard qui malgré son prénom de souche vivait encore à vingt-cinq ans chez ses parents comme beaucoup de jeunes diplômés. Son Bac + 4 ne lui permettait pas de franchir le gué du monde du travail. Le stress et l'angoisse, en plus du psoriasis remuaient l'enfer en lui. De hideux boutons poussaient sur son visage comme autant de freins à l'embauche.

     

    Il passait le clair de son temps à se rassasier d’abominables choses : il n’aurait jamais de CDI, jamais de nana, jamais de logement. Quelquefois il doublait sa dose de lithium qu'il agrémentait de deux ou trois pétards. Il s'imaginait en songe se diriger tout droit vers la DRH d'un grand groupe pour la pilonner de ses compétences et la rassurer en lui disant qu'il ne pouvait y avoir de problèmes avec lui car il acceptait d'être viré du jour au lendemain sans indemnités. Cela lui paraissait être un argument massue.

    Alors tous ses problèmes seraient résolus et toutes ces pilules et ce shit finiraient dans la cuvette des chiottes grâce Myriam El Khomri aka Harpie WC l’exécutrice de l’autoritaire Mr « Propre » Valls.

  • HOLLANDISME

    "Après tout qui a besoin d'un cerveau ? Qu'on me tire une balle entre les yeux et l'on verra bien se je meurs"

    Lydia Lunch

     

    " Pourquoi nous inquiéter ? Nous pouvons compter sur la majorité débile."

    "Ce n'est pas une majorité Monsieur le Président."

    "Qui n'a jamais eu besoin d'une majorité ? Dix pour cent plus les forces policières et militaires, ça a toujours suffi.

    En outre, nous avons les médias qui gobent tout. Une grand chaîne de télévision a t'elle jamais laissé entendre que la guerre contre le terrorisme ne serait qu'un faux problème ?

     

    C'est ainsi que François Hollande créa ce qui restera dans les livres d'histoires comme  : la cohabitation invisible ou l'art étrange de faire voter des propositions de lois d'extrême droite comme la déchéance de nationalité ou de droite comme la réforme du code du travail par l'opposition sans soutien de son propre appareil politique.

    Après le socialisme puis la sociale démocratie et le social libéralisme qui n'avait pour but que de laisser souffler le peuple entre deux périodes de libéralisme, voici venir le temps du Hollandisme.

    Du jamais vu dans les annales...