En France, nous avons élu Kennedy, nous nous retrouvons avec Louis de Funes, un petit agité qui sprinte dans un marathon parti il y a 30 ans et qui essaye de mettre en place les recettes qui précisément ont causé la faillite du système financier mondial (favoriser le crédit et l’endettement des particuliers, faire de la France un pays de propriétaire, obsession de la baisse des taux pour financer la croissance).
Nous aurions pu en fait élire n’importe qui d’autre, les effets auraient été les mêmes voir pires.
L’art du commentaire est tout ce qui reste aux hommes politiques dont le marché mondial à fait ses salariés.
La réalité nécronomique les a dépouillé des illusions dont ils nourrissaient la crédulité populaire et qui confortait chez eux l’impression d’exercer un pouvoir.
L’objectif est maintenant d’éviter la panique dans le grand supermarché mondial.
Appauvrissez vous pour que survivent ceux qui mettent leur salut dans l’argent clame le Marché.
Il n’est pas nécessaire d’avoir d’autres argument vis à vis des populations.
La résignation les porte à contempler sans réagir et sans s’indigner le siphonage de leur patrimoine.
Après tout, ils en ont bien profité, ils ont même hypothéqué l’avenir de leurs enfants en les endettant dés la naissance (40 000 euros par enfant en France, solidarité avec le déficit oblige).
Et puis,
cela fait belle lurette, que l’économie a asphyxié la radicalité qui existait chez les hommes et qui ne s’illustre guère plus que dans nos banlieues ou l’envie de consommer se marie volontiers à la violence.
C’est sans doute ce qui explique le changement de ton de Christine Hagarde qui vient de rappeler
« la priorité absolue n'est pas de baisser les impôts » mais d'« éliminer le déficit public ».
Comprenez :
et puisqu’on ne peut pas faire payer les gros (niches fiscales), il reste encore une solution : faire payer les petits.
Sauvez la France de son déficit abyssal, c’est sauver la vie de vos enfants, nous dira t’on dans peu de temps dans une publicité gouvernementale ;
Et l’unique moyen d’éviter qu’ils finissent congelés comme nos économies ou qu’on les oublient comme un parapluie sur la banquette arrière du Krach mondial.
C’est aussi pour les hypothétiques futurs retraités la garantie de ne pas se faire taper dessus par leur engeance.
Un fils qui tape son père , c’est démoralisant…
Mortelle engeance...
Nécronomiquement votre
lagarde - Page 7
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Obama peut il sauver le Monde : feuilleton de l'été
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Hiroshima économique
Dominique Strauss-Kahn lui même le constate, Christine Lagarde ne va pas tarder à s'y résoudre, tous les pays sont contaminés par la crise...
Nous vivons une curieuse époque qui voit mourir le 1er Novembre 2007 , jour de la fête des morts,
Paul Tibets le pilote d’Hiroshima, et qui voit dans la foulée se déclencher en 2008 un Hiroshima économique déclenché par les mêmes.
Non content d’importer l’épargne du monde entier (chinois, japonais compris…) les américains ont réussi le plus gros coup de génie marketing de tous les temps, en exportant la dette de leurs pauvres sous forme de titres bancaires répartis dans le monde entier.
Car c’est cela la crise des Subprimes...
We play together, we pay together…
Etait il besoin dans ces conditions, Monsieur le Président d’aller pour vos vacances puis, en voyage officiel, plaider pour un dollar fort au moment ou celui ci est en train d’agoniser…
Peut-être êtes vous mal conseillé par Dame Christine Lagarde que l’on appellera Hagarde bientôt…Peut-être a t-elle travaillé trop longtemps aux USA pour être réellement objective sur la situation de ce pays ou peut-être n’y comprend-elle rien ?
Car rassurez vous, Monsieur le Président, NOUS allons tous (les pays du monde) payer la dette des USA et pour nous remercier, ils vont nous exporter leur déflation (chutes des prix et du prix des actifs) comme le japon avait su le faire autrefois au niveau mondial.
C’est ce qu’on appelle chez les nécronomistes, le coup du double Dong …
Dans ces conditions, il n’était pas nécessaire d’aller marquer une obédience quelconque…
Malheureusement pour les USA, les nouveaux pays capitalistes Chine et Russie notamment, n’accepteront pas de payer éternellement ce que nous payons depuis plus de soixante ans…1 fois leur aura suffi.
Ce sont les pauvres du monde entier qui vont payer la dette des pauvres américains et c’est pour cela qu’il vaut mieux être pauvre dans un pays riche mais à condition que ce fût le Numéro 1 mondial…Parce que chez le numéro 2, ça marche déjà plus…
Pendant que nous importions de la pauvreté et que nous exportions de la richesse, les Américains continuaient d'importer de la richesse, ils vont maintenant exporter leur pauvreté nous plongeant avec eux dans la Très Grande Dépression.
Nécronomiquement votre
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Honneur et gloire au guide suprême de la révolution consumériste
Christine Hagarde , Ministre de l'économie du Boukistan, qui ne jure que par la relance de la consommation et du pouvoir d'achat et qui vient de déclarer dans le Monde que les nouvelles mesures (qui peut croire à ça...!) prises par le gouvernement correspondait à l'équivalent d'un treizième mois pour les français ( pour info Dame Christine :
une économie qui consacrerait à la consommation l'intégralité de ses revenus aurait un taux de croissance nul) ferait bien de lire le remarquable livre de nouvelles de notre hôte et nouvel ami Mouamar Kadhafi.
Le gouvernement en apprendrait long sur le malaise des banlieues qui sont les premières victimes de la mode et du désir de consommer quelqu'en soit le prix à payer (a la Tony Montana/ Scarface)
Je ne résiste donc pas, maintenant que le guide suprême est devenu fréquentable à vous en livrer un extrait plein de bon sens.
La ville est une mode, une fascination, une tradition stupide et une consommation maudite. des demandes futiles et une existence sans signification.
Et le pire n'est-il pas cet instinct grégaire ?
Le citadin n'a guère la capacité dé résister à une mode, même si elle lui déplaît,
ni celle de pouvoir résister à la perdition ou la consommation avide et funeste.
Extrait de Escapade en Enfer de Mouamar Kadhafi.
Nécronomiquement votre