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récession - Page 55

  • Le bonheur est dans le prêt mais la mort à crédit...

    Pour les Nécronomistes, l’économie est considérée comme la dynamo d’un système où TV, politique, sexe, Football et Euromillion sont d’une importance égale et où les hommes providentiels sont des symboles sexuels.

    Ken Baroin et Barbie Pecresse peuvent ne pas croire au double dong et au retour en récession, ils ne peuvent envisager non plus la TGD et le châtiment des neufs orifices :

    « La France tiendra grâce à son éternel pilier : la consommation… »

    Un pilier tellement éternel que tous aimeraient le voir disparaître au profit de la production suivant le modèle allemand. La vérité étant que les Etats, ne sont plus à même de financer la consommation comme par le passé à grand renfort de dépenses publiques et sociales puisque celles-ci génèrent de la dette souveraine qui menace le pacte de stabilité que nous avons fait voter à tous sans jamais l’appliquer pour nous et pire encore qui menace notre notation.

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  • Ragnarôk

     

    Temps des tempêtes, temps des loups,

    Avant que le monde s'effondre ;

    Personne

    N'épargnera personne

     

     

    La pluie allant à la pluie comme l'argent à l’argent, il se devait pour la main invisible du capitalisme que l’on appelait la Money Power, au vu des averses suscitées par les ménages subprimés déviants d’Amérique, d’orchestrer un second déluge afin de noyer le péché à sa source sur cette Europe d'où jadis avaient immigré les banquiers ingrats qui n’ignoraient pas que le consommateur américain avait alimenté la croissance mondiale pendant vingt ans et permis le boom de la Chine et ses retombées dont l’Europe avait bénéficié et qui maintenant devait expier.

    We play together, we pay together

     Comment les banques européennes et françaises, filles ingrates pouvaient telles être solvables puisqu’elles s’étaient laisser refiler naïvement ou pas (n’est ce pas SG)  par les banques américaines, les produits les plus toxiques qu’elles prétendaient avoir depuis provisionné sans mêmes les identifier…Elles étaient forcément sous capitalisées car seules les banques américaines connaissent le contenu du désastre.

     Les banques françaises l’étaient d’autant plus qu’elles étaient truffées de dettes souveraines de pays pour certains insolvables ou la population ne semblait pas résignée à l’idée de mourir pour son banquier.

    Splaaaaashhh….passage du Stress test au Crash test….

    Laurence Parisot pouvait s’indigner devant tel complot,  Christine Hagarde redevenant Lagarde US priait désormais que l’on ressuscite le consommateur zombi qui remplissait son caddy dans l’HyperMarché mondial.

  • Qui est l'Ahuri ?

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    Contrairement à ce que l’on peut lire ici ou là,  les investisseurs ne sont pas ces peureux dont le sang se glace dans les veines au moindre froid mais des gens tragiquement lucides lorsqu’il s’agit de leurs intérêts. En dehors du contexte des dettes souveraines et des dettes privées des banques devenues dettes publiques, les investisseurs comprennent ce qui se passe au vu des inexorables mesures qu’il va falloir prendre lorsque l’on sera sorti du pays des magiciens de l' écriture comptable et des engagements hors bilan.

    Par conséquent la pauvreté allant devenir sport international, que les banques qui ne veulent plus prêter se rassurent : Bientôt, elles ne prêteront plus ou peu a cause de l’augmentation des risques de défaut et leurs revenus baisseront sur leur activité première, celle qui contribue à l économie réelle où nous vivons et cela posera tout simplement la question de leur réelle utilité.

    Cela les investisseurs l’ont compris…Ils ont compris également que nous étions à l’aube- gravité de la crise oblige- de réformes fiscales, pays par pays, sans précédent car les privatisations ne se font pas sans licenciement (voir PIB de la mauvaise Grèce où l’on découvre avec stupéfaction que les fonctionnaires consommaient plus que les chômeurs...)

    Nécronomiquement votre