J'ai déjà eu l'occasion d'en parler, les USA pays de la discrimination positive ont été obligé de passer à la discrimination négative.

La cause, les blacks et les latinos n'arrivaient plus à rentrer dans les facs de maths. Les places étaient trustés par les asiatiques. On a donc mis en place des quotas.

Vous le savez, je considére que le libéralisme puis le capitalisme financier ont été la planche de salut du capitalisme qui dans la mondialisation n'arrivaient plus à extraire la plus valus du travail de l'homme. C'est la raison des délocalisations

Un de mes amis qui a réussi dans la High Tech et qui se rend souvent dans la mythique Silicon Valley en l’occurrence au siège d'Intel m'a fait part de ce qui se passait dans la glorieuse entreprise.

Aux USA, on n'a pas le droit de faire cohabiter dans le même espace des gens qui pour la même compétence gagnent le double ou le triple voire plus.

Chez Intel, il y avait des indiens et des américains

Comment ont ils résolu de problème ?

C'est simple, il n'y a plus que des indiens...

Discrimination nécronomique

Pour Brice Hortefeux, les étrangers en situation régulière "doivent être prioritaires pour accéder à l'emploi", car ce sont "les premières victimes de l'immigration clandestine", le taux de chômage dans cette catégorie de la population dépassant les 20%.
Le gouvernement aurait pu faire le même constat pour la sécurité sociale puisque les bénéficiaires de la CMU
sont aujourd’hui incapables d’obtenir des rendez-vous chez les spécialistes qui ne peuvent leur facturer des honoraires contrairement aux bénéficiaires de l’AME (Aide Médicale de l’état) en situations irrégulières mais dont les frais médicaux sont pris en charge à 100% honoraires compris à la grande joie des spécialistes et des pharmaciens qui eux continuent de s’enrichir.
Ainsi donc, des personnes en situation irrégulières, poussées de l’avion sur des fauteuils roulants sont sûr d’être mieux soignés que des résidents français car plus profitables économiquement par le corps médical dans son ensemble.
Loin des yeux ...près du portefeuille....