Juste deux mots sur la vie dans le ghetto dont je ne vous ai pas parlé depuis quelques temps. Avec la crise, les choses s’auto-organisent. Cela dit, il y a de plus en plus de regards méchants signe que les gens sont à l’affut du pognon.
Parmi ceux qui quittaient le quartier pour se rendre à leur pauvre travail (le travail des travailleurs pauvres) et qui étaient surnommés « les Kamikazes », il y a eu quelques suicides de certains qui n’ont pas supporté le confinement sans travailler. Comme chacun sait les Kamikazes vivent très mal sans occasion de mourir. Par ailleurs, les plus créatifs dans le survivalisme nécronomiques ont mis leur logement social sur AirBnB et autres plateformes. La GIG economy au black et sans patron…L’imagination est au pouvoir…