La nouveauté, c’est que les membres du gouvernement donnent maintenant leur avis sur la façon dont sont gérées les entreprises. On l’a vu avec Montebourg sur Peugeot, on le voit avec Fleur Pellerin sur Virgin « qui n’a pas su s’adapter » et qui cite comme modèle la FNAC qui vient de renoncer à la commercialisation de biens culturels dans ses points de vente physique en commençant par en réduire considérablement la profondeur de gamme.
Ainsi à la Fnac de Boulogne, en tête de gondole culturelle : 6 assiettes mêmes pas belles pour 41 euros.
Est-ce cela qui sauvera des points de vente physiques plombés par les frais immobiliers et des baux commerciaux que le bénéfice de la Market place n’arrive même pas à financer ?
Bonjour le bien culturel ou plutôt Adieu le bien culturel….Migration vers le life style sans garantie de succès.
Après la dématérialisation des supports, voici venir le temps de la dématérialisation des points de vente et de leurs salariés…Rien d’étonnant dans un contexte où les travailleurs sont délocalisés dans leurs propres pays en attente de relocalisation de leurs entreprises.
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