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mondialisation

  • Les deux mondes

    mondialisation,etat nation,liberalisme,capitalisme financier,crise et muationPendant que ceux qui ne décident rien tenaient leur réunion à l'ONU, se tenait au Rockefeller Center, une réunion de ceux qui décident vraiment

    Le délégué de la Maison-Blanche pour la transition énergétique et 14 des banques les plus puissantes du monde se sont rencontrés et ont décidé de tripler les investissements dans le nucléaire d’ici 2050, en désaccord apparent (et très habile) avec les conclusions de la COP28

    Adieu les fossiles. Mais adieu aussi le vent, le photovoltaïque et les chimères vertes assorties. Nous nous précipitons vers l’énergie nucléaire. Il suffit de regarder les prix des titres liés à l’uranium au cours de la dernière semaine du marché boursier, juste pour se faire une idée. 

    Restait une question en suspens...que va t'on faire des fameux titre verts estampillés ESG ?

    Bon, on s'en fout un peu, y a qu'a les titriser comme on a fait pour les subprimes et revendre cela au reste du monde...

     

    Bonne idée...

     

     

  • Garçons sauvages ou barbares

    Sur les chaînes infos les garçons sauvages sont appelés « les barbares ».

    Les garçons sauvages sont pourtant les fils maudits des sciences économiques les plus modernes, du capitalisme et de la mondialisation.

    Les experts de tous bords sont tout à fait incapables de comprendre en faveur de quoi se battent les barbares, dont le langage est incompréhensible aussi pour leurs oreilles. Trop infantiles leurs hurlements, trop gratuite leur hardiesse. En face des barbares, ils se sentent impuissants comme un adulte aux prises avec des enfants déchaînés. En effet, pour les anciens Grecs, le barbare était très semblable à l’enfant ; en russe, les deux concepts s’expriment avec le même mot ; et nous pensons au latin in - fans, « enfant », qui signifie littéralement « qui ne parle pas ». Eh bien, ce que l’on reproche le plus aux non-parlants, aux balbutiants, est le manque de sérieux, de raisonnement, de maturité. Pour les barbares, comme pour les enfants, dont la nature n’est pas encore ou pas tout à fait domestiquée, la liberté ne commence pas avec l’élaboration d’un programme idéal, mais avec le bruit incomparable de tessons brisés. C’est ici que s’élèvent les protestations de celui qui pense, avec Lénine, que l’extrémisme n’ e s t qu’« une maladie infantile ». Contre la maladie sénile de la politique, les barbares affirment que la liberté est le besoin le plus urgent et le plus terrifiant de la nature humaine. Et la liberté sans frein dispose de tous les produits du monde, de tous les objets pour les traiter comme des jouets.

  • La marche des oubliés

    https://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?article1885