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pauvreté chute sociale

  • Séquence vulgaire : Le métavers solitaire tu l'as dans le derrière...

    le Grand Toboggan (helter skelter)

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    Tout le monde est un entrepreneur. Personne n’est à l’abri  ». C’est en 2018 que le designer Silvio Larusso publie son livre Entreprécariat en italien, très vite suivi par une édition en langue anglaise. Il y examine la convergence –  sociale mais surtout discursive et rhétorique  – entre les catégories sociales de l’entrepreneur et celle du travailleur précaire, bientôt indiscernables. La start up Nation serait-elle une névrose  ?

     

     

    Comme je le dis souvent Tesla vaut la somme de tous les autres constructeurs et sa valorisation repose sur des ventes non effectuées et du travail non consommé qui ne le sera jamais car automatisation et robotisation (domination du travail mort) On est aux antipodes du modèle fordiste qui faisait de chacun de ses travailleurs un consommateur.

    Le capital n'arrivant plus dans l'hypermondialisation et la concurrence à extraire le plus value du travail de  homme a décidé de se reproduire tout seul.

    Il y a un an encore on nous prédisait qu on serait tous dans le métavers...non seulement, on y est pas mais le réel a fait un retour fulgurant dans l'esprit des gens trop préoccupés par le quotidien pour se laisser porter par un discours futuriste. La chute de 28 % du Nasdaq et le crash des cryptos sont là pour le rappeler. Le consommateur zombie ne peut pas muter aussi vite.

    Le capital fictif n'est qu'un espoir de gain et rien d'autres un pari spéculatif qui n'a rien a voir avec l’économie réelle mais le capital a sans cesse besoin de capital fictif pour se reproduire. Comment autrement peut on financer la transition écologique à part en en faisant une bulle ? Le monde meilleur ce n'est pas une préoccupation de la Money Power sauf si cela leur rapporte de l'argent via des obligations d’État, des titres etc....Le capital fictif est devenu la référence pour le Nasdaq comme pour les pays. Les investisseurs achètent un espoir de PIB qui n'a rien à voir avec l'économie réelle où travaille le commun des mortels. Ce qui pose le problème du dualisme productif avec des gens en haut qui effectue des métiers valorisés par le capital (transition éco, digital, armement) et les autres type serveurs,infirmiers (regardez ce qui se passe en Angleterre) employés de plateforme, caissières etc...métiers non valorisés par le capital donc crevard avant disparition (Uber avec les voitures autonomes à terme). C'est pour ça que cela vaut du pognon. Entreprécariat....

    Le tout dans un contexte de crise énergétique où en dehors du parc nucléaire, nous pouvons nous targuer d'avoir des accords privilégiés avec l'Algérie devenu le premier fournisseur européen devant les USA. On vient de voir la volte face sur les visas.

    Prochainement l’État français lèvera du pognon un pour siphonner les petits épargnants.

    Voilà en résumé, il y a deux écoles ceux qui pensent que la récession sera courte et suivie par une désinflation et ceux qui comme moi pensent que la récession sera longue et douloureuse. Cela sera quand même compliqué de créer du capital fictif même pour les nations. Celui qui lutte au quotidien et ceux qui sont en attente de déclassement se préoccupent peu de la fonte des glaces car au bout de leur fourchette, il ont le festin nu, cet instant glacé où chacun peut savoir réellement ce qu'il va manger sans fioritures. La voie royale vers la piscine des ténèbres de l'économie : le Grand Splaash....Je ne change pas une ligne à mes écrits....

    En attendant les nécros, je vous souhaite de bonnes fêtes et vous remercie encore de m'avoir lu toutes ces années. Ca fait un bail...mais maintenant vous êtes prêts pour la mutation. A mon petit niveau, j'ai fait ce que j'ai fait ce que j ai pu et j'en suis fier. Bonnes fêtes à tous...

  • Lidlisation du monde et appauvrissement

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    Alors que les investisseurs friqués ont mis plus d’argent dans les actions dans les cinq derniers mois que dans les douze ans précédents. (capitalisme sans risqué grâce à la FED) les pauvres continuent de morfler.

    C’est la Lidlisation du monde. Adieu les marques connues vive les marques génériques.

     

    Les marques génériques permettent économiser 20 à 30 % sur les marques ménagères équivalentes, en faisant jusqu'à 1 $ de réduction sur un gallon de lait biologique ou un sac de café de taille standard. Tous ces produits moins chers, économisant un dollar ici ou 20 % là-bas, s'additionnent : le budget moyen des ménages américains pour la nourriture à la maison oscille à

    3 935 $ par an, selon le site de finances personnelles ValuePenguin.

     

    Quelque 88 % des Américains ayant un revenu annuel inférieur à 35 000 $ ont déclaré avoir acheté des produits de marque privée ou de marque générique pour économiser de l'argent en 2019, bien plus que les 74 % des ménages qui gagnaient 100 000 $ par an et ont dit la même chose, un autre rapport mentionné. Joan Driggs, vice-présidente du contenu de la société de données IRI, a déclaré que les consommateurs font de plus en plus confiance à ces marques.

     

    La pandémie a également modifié les habitudes d'achat de manière inattendue. Les gens ont acheté plus de haricots rouges et moins de médicaments contre le rhume, alors que la pandémie de COVID-19 a réécrit les listes de courses américaines. Des études montrent que les Américains se sont approvisionnés en oranges pour fortifier leur système immunitaire, mais ont acheté moins de médicaments contre le rhume et la grippe, en partie à cause de la distanciation sociale.

     

    Les problèmes de santé mentale provoqués par la pandémie ont entraîné des comportements malsains – notamment la consommation de drogues et d'alcool, le jeu, les mauvaises habitudes alimentaires et le sous-exercice – mais les défis d'une année ont également conduit les consommateurs à se concentrer sur trois tendances de consommation distinctes : la santé, le bien -être et prendre soin de soi, a également déclaré mercredi le Conference Board.

     

    Le taux d'emprunt par carte de crédit a diminué en janvier, les Américains ayant utilisé les deux premières séries de chèques de relance pour rembourser la dette.

     

    Réalisé en collaboration avec Nielsen NLSN, -0,70 %, le rapport du Conference Board indique que la confiance des consommateurs mondiaux est passée à 98 au dernier trimestre 2020, contre 92 au deuxième trimestre. Les paiements directs du plan de sauvetage américain de 1,9 billion de dollars ont été déployés ce mois-ci. La loi autorise les chèques de 1 400 $ par personne dans les ménages faisant moins de 75 000 $ pour les particuliers et 150 000 $ pour les couples mariés.

     

    Le paquet de secours n'est pas venu trop tôt. Plus de la moitié des consommateurs américains (56 %) ont déclaré qu'ils vivaient « de chèque de paie à chèque de paie », selon un sondage distinct publié ce mois-ci, et 48 % ont subi des revers financiers inattendus au cours des trois derniers mois. Plus de 70 % disent qu'ils sont de plus en plus conscients de l'endroit où ils dépensent leur argent.

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