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  • Libéralisme et Cancer de la prostate : la où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir !

     

    pollution,demographie,larry summers,nobel economie,sarkozy,afriqueNicolas Sarkozy qui aime donner son point de vue sur tout et s’intéresse à la démographie tout en ricanant sur la petite suédoise « Cette jeune Suédoise, si sympathique, si souriante, tellement originale dans sa pensée ».
    Selon l’ancien président de la République, « le choc, n’est pas un choc climatique, auquel il faut apporter une réponse, mais le plus grand choc mondial, c’est le choc démographique. »
    « Des dérèglement climatique, le monde en a vécu, qui ont conduit pour certain à la disparition de 80 % des espèces du vivant », fait valoir Nicolas Sarkozy. « Mais un choc démographique comme celui que nous sommes en train de vivre, le monde ne l’a jamais connu.
    D’ailleurs, selon Nicolas Sarkozy, il y a bien un lien entre population et pollution. « C’est d’ailleurs la première source de pollution. Car vouloir promouvoir de développement durable sans poser la question de l’explosion de la démographie mondiale, ça pose question. » En voilà une pensée orginale !
    L’ancien chef de l’État se dit en tout cas « assez fasciné de voir la discussion sur le climat et la gêne quand on discute de l’évolution de la démographie mondiale" 
    Cette gêne ne vient pas de nulle part. De grands penseurs du libéralisme comme l’actuel théoricien de la stagnation séculaire, Larry Summers qui sera un jour Nobel d’économie ont proposé des solutions pour combattre la pollution. Comprenez qu'il est’ difficile demander à un pays la mise en place d’une stérilisation volontaire de ses habitants.
    En attendant Larry Summers la star de l’économie a une solution pour la pollution.
    « Les pays sous-peuplés d’Afrique sont largement sous-pollués. La qualité de l’air y est d’un niveau inutilement élevé par rapport à Los Angeles ou Mexico […] Il faut encourager une migration plus importante des industries polluantes vers les pays les moins avancés […] et se préoccuper davantage d’un facteur aggravant les risques d’un cancer de la prostate dans un pays où les gens vivent assez vieux pour avoir cette maladie, que dans un autre pays où deux cents enfants sur mille meurent avant d’avoir l’âge de cinq ans. […] Le calcul du coût d’une pollution dangereuse pour la santé dépend des profits absorbés par l’accroissement de la morbidité et de la mortalité. De ce point de vue, une certaine dose de pollution devrait exister dans les pays où ce coût est le plus faible, autrement dit où les salaires sont les plus bas. Je pense que la logique économique qui veut que des masses de déchets toxiques soient déversées là où les salaires sont les plus faibles est imparable ».

    Voilà, Monsieur le Président, une vraie pensée originale et libérale comme vous les aimez.
    Nécronomiquement Votre