Je revois encore ce jour où mon ami Mehdi Belhaj Kacem, fidèle compagnon de route et de lutte, franchit la porte du squat en nous annonçant la mort de l'universalisme. Quand les pauvres,victimes du libéralisme, planche de salut du capitalisme n'ont plus conscience de leurs intérêts communs. Ils s'unissent pour des intérêts nationaux.
Comme ils ont perdu la guerre sociale, ils se préparent pour d'autres guerres dépourvues de sens universel.
Étant donné que, dans la précarité généralisée, la compétition marchande est devenue la seule forme de relation possible, on s'accroche à l'appartenance à la nation, pour résister à la déterritorialisation.
Un modèle que le libéralisme a bazardé depuis longtemps. Sortir de l'Europe,cela veut dire vingt ans, une génération, pour sortir de ces traités avec la réintroduction d'une monnaie complémentaire le Franc.
Impossible...Le réveil est brutal. L’atterrissage en douleur....le corporatisme est l"autre nom du fascisme
Mercosur : le patron du Medef favorable à un accord « en se laissant du temps » (sudouest.fr)
. "Tu casses, tu répares. Tu salis, tu nettoies. Tu défies l'autorité, on t'apprend à la respecter", Gaby la branlette
Fabulous Trobadors - Pas de ci (youtube.com)
Pour le reste, la révolte des agriculteurs va se dégonfler comme une baudruche à coups de millions....comme dab...D'un pays à un autre, les agriculteurs sont concurrents...