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sentiment insecurité

  • La bergère schizophrène...

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    L’échafaud étant dressé en ce 24 em jour d’avril, le goût du désastre suppléait l’attraction des astres.

    Pendant que les jeunes iroquois, braquaient, cassaient et montaient leur vie comme un film pour acheter de la pellicule blanche, chez nos hommes politiques, le surnaturel avait pris le relais du principe de réalité.

    Les programmes des partis optant pour un nouveau mode littéraire comme le nouveau roman autrefois. Il faut que le programme ne contienne rien de réel, aucune observation du peuple incapable d’appréhender sa vie, et désormais destiné à éprouver des sentiments qui n’existent pas.

    Ainsi l’Insécurité est devenue un sentiment (ou une névrose) comme l’Amour et tout aussi répandu.

    En niant l’existence de cette réalité et en la considérant comme un sentiment qui n’a rien de réel, la politique semble être devenue la vraie extase : immobilité de carrière sous couvert de désintéressement complet et une vie et un bonheur tout à fait en dehors du champ de l’expérience humaine.

    Il suffit pour cela de rajouter un horizon à l’horizon comme cela vient d’être fait, liant l’immigration au problème des retraites (réflexe post colonial) mais demander la fermeture provisoire de l’espace Shengen.

    On n’est jamais seul quand on est schizophrène.

    L’Hypermarché est en travaux…mais on se souvient soudainement qu’un « barbare » peut cracher de l’essence sur une bergère schizoïde docile, appelé laïcité, la faisant s’ouvrir cuisses hautes à la sentence jaillie du phallus appelée démographie comme si la terre basculant sur son axe recevait dans ses entrailles une coulée de ciel lourd..

    Mondialisation vs localisme dans un univers où les gens se regroupent par code postal...!!!

    En route vers le grand splaaash, la piscine des ténèbres de l’économie…

    Mai et juin vont être (dé)chargés