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La solitude… Voilà un sujet qui en préoccupe plus d’un·e et qui a été remis sur le devant de la scène par la pandémie de Covid-19. Construite comme un véritable enjeu social, la solitude est largement considérée comme un problème à combattre, comme un phénomène à prévenir et dont il faut soigner les conséquences sur la santé mentale et physique de ceux·elles qui la « subissent ». Le film El otro, de Francisco Bermejo, met au centre de son propos le fait d’être seul, isolé, et invite à questionner nos conceptions de la solitude. Cette fiction-documentaire nous fait pénétrer dans le quotidien d’Óscar, un solitaire qui vit en marge de la société depuis plus de 40 ans et qui entretient une relation avec un « autre », un double de lui-même avec lequel il converse et qu’il semble appréhender à la fois avec folie et lucidité.
Pour poursuivre les réflexions initiées par le film, le festival Black Movie propose de questionner la notion de solitude à l’occasion d’une table ronde réunissant des sociologues spécialisé·e·s dans les questions de solitude(s) et des professionnel·le·s de la santé mentale. La solitude est-elle véritablement une maladie, un mal de société à combattre ? A-t-elle nécessairement des conséquences néfastes sur les individus ? Qu’en est-il de ceux·elles qui la choisissent ? Ne devrait-on pas parler de « solitudes », au pluriel ? "
Personnellement j’alterne mes solitudes, depuis que j’ai découvert qu’en vivre une seule, ou deux petites riquiquis, ne me rapprochait ni des oiseaux, ni des oisifs, ni des oasis, ni d’Osiris, qui a quand même inventé l’agriculture et la religion, pas rien.
Trois par semaine, c’est bien. ( Les dédoublements dans les transports publics ne sont pas comptés, trop cher l’abo et multiplication du risque épidémique).
7 heures le net, la moitié TV
" Dans le monde, les internautes sont connectés en moyenne 6 heures et 54 minutes par jour, et ils passent 2h25 sur les réseaux sociaux, à comparer avec une durée moyenne de 3h24 devant la télévision. "
Et la baise, faut une coupure de courant, comme dab ?
Rapport, mort et dort au Mordor, tel un choéphore *
* cnrtl.fr : [Dans la Grèce antique] Celui, celle qui porte les offrandes destinées aux morts :
... je crus voir passer le chœur innocent des belles et plaintives choéphores accompagnant un Atride tourmenté par des souvenirs de meurtre dans son palais ensanglanté. Vigny, Mémoires inédits,1863, p. 122.
C'est pas beau le lavis ?
Ah, au fait, le chat du cimetière vous salue bien. Ben oui, il connaît bien la Nécro, le minet, pensez : du soleil, de l'ombre et du calme. Toujours proche du columbarium, toujours le même, toujours sympa.
" Bidet espère l'immunité collective d'ici l'été aux Etats-Unis "
328 millions d'immunisés diplomatiques ( diplômés à l'automate ) en juillet, c'est bien.
Commentaires
" Questions de solitude(s)
La solitude… Voilà un sujet qui en préoccupe plus d’un·e et qui a été remis sur le devant de la scène par la pandémie de Covid-19. Construite comme un véritable enjeu social, la solitude est largement considérée comme un problème à combattre, comme un phénomène à prévenir et dont il faut soigner les conséquences sur la santé mentale et physique de ceux·elles qui la « subissent ». Le film El otro, de Francisco Bermejo, met au centre de son propos le fait d’être seul, isolé, et invite à questionner nos conceptions de la solitude. Cette fiction-documentaire nous fait pénétrer dans le quotidien d’Óscar, un solitaire qui vit en marge de la société depuis plus de 40 ans et qui entretient une relation avec un « autre », un double de lui-même avec lequel il converse et qu’il semble appréhender à la fois avec folie et lucidité.
Pour poursuivre les réflexions initiées par le film, le festival Black Movie propose de questionner la notion de solitude à l’occasion d’une table ronde réunissant des sociologues spécialisé·e·s dans les questions de solitude(s) et des professionnel·le·s de la santé mentale. La solitude est-elle véritablement une maladie, un mal de société à combattre ? A-t-elle nécessairement des conséquences néfastes sur les individus ? Qu’en est-il de ceux·elles qui la choisissent ? Ne devrait-on pas parler de « solitudes », au pluriel ? "
Personnellement j’alterne mes solitudes, depuis que j’ai découvert qu’en vivre une seule, ou deux petites riquiquis, ne me rapprochait ni des oiseaux, ni des oisifs, ni des oasis, ni d’Osiris, qui a quand même inventé l’agriculture et la religion, pas rien.
Trois par semaine, c’est bien. ( Les dédoublements dans les transports publics ne sont pas comptés, trop cher l’abo et multiplication du risque épidémique).
7 heures le net, la moitié TV
" Dans le monde, les internautes sont connectés en moyenne 6 heures et 54 minutes par jour, et ils passent 2h25 sur les réseaux sociaux, à comparer avec une durée moyenne de 3h24 devant la télévision. "
Et la baise, faut une coupure de courant, comme dab ?
Rapport, mort et dort au Mordor, tel un choéphore *
* cnrtl.fr : [Dans la Grèce antique] Celui, celle qui porte les offrandes destinées aux morts :
... je crus voir passer le chœur innocent des belles et plaintives choéphores accompagnant un Atride tourmenté par des souvenirs de meurtre dans son palais ensanglanté. Vigny, Mémoires inédits,1863, p. 122.
C'est pas beau le lavis ?
Ah, au fait, le chat du cimetière vous salue bien. Ben oui, il connaît bien la Nécro, le minet, pensez : du soleil, de l'ombre et du calme. Toujours proche du columbarium, toujours le même, toujours sympa.
" Bidet espère l'immunité collective d'ici l'été aux Etats-Unis "
328 millions d'immunisés diplomatiques ( diplômés à l'automate ) en juillet, c'est bien.