Coté US
Le patron de Bridgewater un des plus gros fond d’investissement déclare :
Nous avons connu de nombreux grands changements économiques au cours des 50 ans d’histoire de Bridgewater, donc nous ne parlons pas à la légère lorsque nous disons que cela ressemble à un phénomène qui n’arrive qu’une fois par génération. Mesdames et Messieurs, en 50 ans d’histoire, nous avons tout vu, mais l’époque que nous vivons est littéralement sans précédent.
Coté européen :
Sommes-nous en train de nous précipiter vers le réarmement non pas par peur d’une invasion russe imaginaire, mais parce qu’il y a un macro-abîme devant nous qui rend obligatoire une politique de rupture totale avec la bulle verte pour migrer vers la Bulle Kaki et la fin d’une mondialisation malheureuse ? Et surtout actionner à nouveau la planche à billets dont nous avons besoin pour survivre…
Commentaires
" La pression économique exercée sur les médias pratiquement partout dans le monde menace considérablement la liberté de la presse, selon Reporters sans frontières. La Suisse, où la situation est aussi tendue, garde la 9e place du classement annuel de l'ONG.
"La liberté de la presse n'a jamais été aussi menacée que cette année", écrit vendredi Reporters sans frontières (RSF) dans un communiqué. L'ONG a donc qualifié pour la première fois la situation mondiale de la liberté de la presse de "difficile".
"Ce résultat est clairement dû à une dégradation de l’indicateur économique mesurant l’indépendance économique et financière des médias", explique vendredi dans La Matinale de la RTS Denis Masmejan, secrétaire général de la section suisse de Reporters sans frontières.
Dans près de 90% des pays analysés par RSF (160 sur 180), les médias ne parviennent plus à atteindre une stabilité financière à long terme. Et dans près d'un tiers des pays du monde, ils sont contraints de fermer. "Dans la moitié des pays mesurés, les médias se trouvent dans ce que nous appelons la zone difficile, voire très grave. Dans ces deux cas, la liberté de la presse ne peut plus être considérée comme suffisamment garantie", analyse Denis Masmejan."
Pauv’choux, à force de déconner…
C vrai qu entre les violences policières pendant les gilets jaunes, le covid
puis la guerre sans guerre
ils sont mis le paquet
sur le fond, ils ne creent pas de valeur en chroniquant au jour au jour des faits divers et variés
leur metier n'existe plus. Nous nous informons autrement