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europe

  • Parlez d'avenir à des vers de terre...

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    Décryptage Draghila (note précédente)

    Les acteurs du drame sont les termes du Marché imposées par la Money power, les exigences du Marché, les pressions compétitives sans oublier les exigences de la productivité qui génère la croissance.Tout cela n'ayant aucun lien avec la volonté, les décisions de simples citoyens. Qui vont devoir trouver les moyens de leur survie biologique avec une faible estime de soi en évitant d'ëtre burnoutés en quête d'une main qui se tend qui ne viendra jamais. En nécronomie, on appelle cela la loi du score.

    La loi du score est une loi globale qui s'applique dans l'espace global des flux économiques. Elle est globalement contraignante. A l'inverse de la loi que nous que nous avons toujours eu l'habitude d'appliquer dans États nations modernes, elle est très éloignée de la politique, sans forme constitutionnelle, sans démocratie, sans chaînes ininterrompues de légitimité. C'est une règle, une directive sans dirigeant. Dans le véhicule économique crée par la loi du score qui nous demande de faire un bond, un grand nombre de citoyens incapables de supporter la vitesse sont tombés du véhicule en accélération. Tandis qu'un plus grand nombre, même pas encore à l'intérieur à échoué' à se trouver dans la course, à rattraper le véhicule et à y grimper. Depuis le début des temps modernes, chaque génération a eu ses naufragés perdus dans le vide social. Dans le véhicule économique du progrès en accélération, le nombre de place assises et debout ne suffit plus à recevoir tous ceux qui veulent faire partie du voyage sans IA et sans transition écologique comme je l'annonçai déjà en 2010 à la sortie de Crise et Mutation.

    Nécronomiquement votre

    JPC

     

  • La France sous tutelle de la Money Power

    Macron a brisé un tabou post-Brexit sans précédent. Interrogé par Bloomberg TV, le locataire de l’Elysée s’est dit ouvert au rachat d’une banque française par un concurrent européen, si cela servait de levier pour une plus grande intégration. Mais ce n’est pas suffisant. ,Le président français s’en est pris au nanisme industriel européen, prônant des fusions et la naissance de sujets capables de concurrencer les grands acteurs américains et chinois. Maintenant, ce dernier point semble paradoxal, du moins s’il est décrit comme un souhait de la part du champion du monde du nationalisme d’entreprise. Mais le premier point donne à réfléchir. Quelle banque française voit son niveau 3 bouillir à un point tel qu’elle a besoin d’un chevalier blanc pour la sauver ?

     

    Bref, Emmanuel Macron semble déterminé à préparer son opinion publique au sacrifice d’une partie de la grandeur nationale. Pour survivre. Car le ratio dette/PIB  commence à inquiéter. Et beaucoup. Et la charge des produits dérivés sur les banques françaises est le secret le mieux gardé de tout le secteur. Tout le monde sait, tout le monde se tait. Du moins jusqu’à ce que, comme c’est le cas actuellement, l’horizon de la politique monétaire apparaisse décidément insondable.

     

    . Comprenez-vous pourquoi Mario Draghi ex Président de Goldman Sachs International dirigera la Commission européenne ? Les cavaliers de l’Apocalypse sont nécessaires pour régner sur le chaos. Et la BCE en sait quelque chose.

    Juste pour info si Draghila remplace Pustula von der leyen, son projet est de lancer un emprunt de 500 MILLIARDS et à qui va t on emprunter ? Devinez....

    Emmanuel Macron pousse à la consolidation du secteur bancaire européen | Les Echos

     

  • Europe is dead

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    Les historiens de l’économie se souviendront du krach financier de 2008, de la crise de la dette publique post-2009 qui a suivi et de la pandémie comme une séquence d’opportunités que les élites européennes ont choisi de manquer, au lieu de faire défaut à l’austérité dès que les circonstances le permettront. 

    Quelle qu’en soit la raison, le fait est que l’Europe est sur le point de commettre la même erreur au pire moment possible. Alors que notre industrie et nos infrastructures se fanent après des années de sous-investissement, les États-Unis connaissent un boom des investissements, en raison du programme politique du président Biden qui accorde d’énormes subventions aux entreprises (y compris les entreprises européennes) qui investissent en Amérique, principalement dans les technologies vertes.

    L’UE, quant à elle, réagit de la seule façon qu’elle semble connaître : en prenant des mesures pour rétablir les règles budgétaires qui raviveront les politiques d’austérité qui ont causé l’appauvrissement relatif de l’Europe en premier lieu. Gabriel Attal aka Gaby la branlette l'a annoncé pur 2024.

    L’écriture est sur le mur. L’Europe fera du bruit sur la création de son  Gabtpropre fonds d’investissement pour contrer les nouvelles politiques industrielles de l’Amérique, mais le résultat sera décevant et tout aussi controversé comme l’était le Fonds de relance.

    Alors que l’Europe continue de perdre du terrain et que ses exportations nettes vers l’Amérique et la Chine diminuent (également en raison des politiques de « réduction des risques » que les États-Unis imposent à l’UE), les protectionnistes européens prendront le dessus, tournant leur colère davantage vers la Chine que vers l’Amérique. Vassal un jour, vassal toujours....

    Malgré le passage du gaz bon marché de Gazprom au gaz naturel liquéfié coûteux expédié depuis le golfe du Mexique, les coûts des panneaux solaires avancés (que seuls les Chinois peuvent fournir à bas prix) augmenteront bientôt, ainsi que les coûts de toute la transition vers l’énergie verte.

    La bulle verte est inflationniste...