Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

depression - Page 47

  • Obama peut il sauver le Monde : feuilleton de l'été

    En France, nous avons élu Kennedy, nous nous retrouvons avec Louis de Funes, un petit agité qui sprinte dans un marathon parti il y a 30 ans et qui essaye de mettre en place les recettes qui précisément ont causé la faillite du système financier mondial (favoriser le crédit et l’endettement des particuliers, faire de la France un pays de propriétaire, obsession de la baisse des taux pour financer la croissance).

    Nous aurions pu en fait élire n’importe qui d’autre, les effets auraient été les mêmes voir pires.

    L’art du commentaire est tout ce qui reste aux hommes politiques dont le marché mondial à fait ses salariés.
    La réalité nécronomique les a dépouillé des illusions dont ils nourrissaient la crédulité populaire et qui confortait chez eux l’impression d’exercer un pouvoir.
    L’objectif est maintenant d’éviter la panique dans le grand supermarché mondial.

    Appauvrissez vous pour que survivent ceux qui mettent leur salut dans l’argent clame le Marché.

    Il n’est pas nécessaire d’avoir d’autres argument vis à vis des populations.
    La résignation les porte à contempler sans réagir et sans s’indigner le siphonage de leur patrimoine.
    Après tout, ils en ont bien profité, ils ont même hypothéqué l’avenir de leurs enfants en les endettant dés la naissance (40 000 euros par enfant en France, solidarité avec le déficit oblige).
    Et puis,
    cela fait belle lurette, que l’économie a asphyxié la radicalité qui existait chez les hommes et qui ne s’illustre guère plus que dans nos banlieues ou l’envie de consommer se marie volontiers à la violence.

    C’est sans doute ce qui explique le changement de ton de Christine Hagarde qui vient de rappeler
    « la priorité absolue n'est pas de baisser les impôts » mais d'« éliminer le déficit public ».
    Comprenez :
    et puisqu’on ne peut pas faire payer les gros (niches fiscales), il reste encore une solution : faire payer les petits.

    Sauvez la France de son déficit abyssal
    , c’est sauver la vie de vos enfants, nous dira t’on dans peu de temps dans une publicité gouvernementale ;

    Et l’unique moyen d’éviter qu’ils finissent congelés comme nos économies ou qu’on les oublient comme un parapluie sur la banquette arrière du Krach mondial.

    C’est aussi pour les hypothétiques futurs retraités la garantie de ne pas se faire taper dessus par leur engeance.
    Un fils qui tape son père , c’est démoralisant…
    Mortelle engeance...

    Nécronomiquement votre

  • Bear Market

    fc514e83b930d80c28976762fc2cf2fc.gif



    Ne cherchez pas où a disparu l’empire de l’est, il renaît sous nos yeux, dans le respect des formes démocratiques , aux USA, avec l’inéluctable nationalisation des banques en faillites.
    Ainsi fonctionne le libéralisme, ou le consommateur paye deux fois.
    Une fois en tant que spéculateur
    Une fois en tant que contribuable.

    Dans les mois qui viennent, nous constaterons que
    jamais dans le temps et dans l’espace planétaire, le désespoir d’avoir à survivre au lieu de vivre n'aura été aussi grand.
    Jamais, non plus tant de populations n’auront été en simultané la proie du désarroi et de la peur.

    La baisse tendancielle des profits et la paupérisation grandissante se vérifient jour après jour et pour cause :Plus rentable que la production et la consommation, la gestion du capital inerte l’emporte et abandonne la planète à l’état de patrimoine foncier propre à une rentabilité en déclin et impropre à l’investissement.
    En quelques mois, le CAC 40 a ainsi gommé trois ans de gains, ce qui représente des milliers de milliards d'euros partis en fumée
    Il ne lui en faudra que quelques autres pour revenir à son niveau d’il y a 20 ans lors de sa création. Le phenomène est mondial.

    Une mutation s’annonce. elle marque la fin d un très long cycle qui aura duré soixante ans.

    Ni les marchés actions ni l’immobilier ne retrouveront les cours d’antan produits fictifs d’un sur endettement état , entreprises et particuliers, basé sur l’abondance de crédit donc l’excès de liquidités artificielles.
    C'est précisément cet excès qui génére aujourd'hui de l'inflation.

    La désagrégation sociale et le désarroi des mentalités s’accentueront à mesure que le capital se retirera lentement et sûrement de la production et de la consommation.
    Dans cette atmosphère naissante de fin du monde, l’économie épuisée s’emploiera avec zèle à amasser ses ultimes bénéfices et à les concentrer dans le cercle d’une spéculation internationale énergie et matières premières car les banques doivent désormais réinventer leur business model et ne retrouveront jamais non plus leur niveau de valorisation du passé.
    Que peuvent valoir les actions de banques sauvées par des contribuables ?

    L'illusion du libre choix et la promesse d’un bonheur immédiat payable à tempérament sont définitivement morts et enterrés pour le plus grand nombre.

    Que restera t il des illusions engrangés par une société qui identifiait le bien être à la consommation, une fois que la régression sociale et la baisse du pouvoir d’achat fermeront les portes du paradis de pacotille promis aux jouissances salariales ???

    A quoi aura abouti la valeur travail si longtemps proposé à l’admiration des foules si ce n’est à la perte du bonheur dans les démocraties de marché ?
    Bienvenue dans la TGD

  • Marketing nécronomique

    J'ai été le premier à vous l'annoncer, désormais des voix s'élèvent de partout, y compris de la société générale (après l'augmentation de capital destiné aux gogos)
    règle samouraî : "si tu ne vas à la chasse tous les jours, cela veut dire que c'est toi le gibier"

    La récession mondiale est dans toutes les pensées.
    "Les Etats-Unis ouvrent la voie, plongeant dans une récession profonde (...) et nous voyons le consommateur britannique tout aussi vulnérable que ses frères et soeurs américains, même en l'absence de débâcle liée au subprime. Une récession profonde attend le Royaume-Uni également, et ni le Japon ni la zone euro n'échapperont au bourbier de la récession", prédit 1 an et demi après JPC fondateur de la nécronomie, l'analyste londonien de la Société Générale Albert Edwards.

    Chers amis nécronomistes, nous ne sommes plus seuls au monde...les institutionnels nous rejoignent...
    Je vais facturer du conseil nécronomique...(mais en ai-je seulement envie ????)

    En route pour la TGD

    Nécronomiquement votre