A Zéphyr,
Au moment où les jeux d’argent connaissent un engouement sans précédent, il en est un qui se pratique dans la rue avec un matériel minimum et qui me semble promis à un grand avenir :
Le plus près du caniveau
La règle est simple, elle consiste à envoyer une pièce le plus près de la bordure du caniveau sans tomber dedans.
C’est ce qu’on fait toutes les démocraties de Marché oubliant par delà la règle nécronomique : La dette on peut jouer avec … pas s’y suspendre...
Dans ce contexte, il était logique que la conversion de la dette privée en dette publique se solde par des dégradations de notes des Etats par les agences de notation.
Unique solution désormais : Prendre le contrôle des agences de notations ou en crée une, ce vers quoi nous nous orientons. Il est vrai que pouvoir se noter soi-même, c’est l’idéal …et la garantie de pouvoir emprunter aux meilleurs taux ad vitam eternam.
Notes virtuelles = Emprunts virtuels = Dettes virtuelles
Ainsi tout serait holistique
A ce stade la virtualité de l’argent sera tellement apparente qu’ il n’y aura plus de raison d’objective de ne pas garantir un revenu d’existence digne de ce nom à tous ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas travailler plus pour gagner plus et autres travailleurs délocalisés dans leur propre pays, condamnés à s’appauvrir sur le lieu même de leur richesse.
D'ici très peu de temps, les plan de relance de la demande (argent sans travail) apparaîtront pour les plus démunis qui désormais exclus du crédit ne peuvent plus faire leur vrai métier : Consommer....
Le travail n'étant là que pour les occuper et maintenir la cohésion sociale.
Nous serons alors bien loin du RSA...