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recession - Page 65

  • La reprise de mes chaussettes....

     

    « Du point de vue économique tout est économique »

    existentaliste /bourdon /mâle

     

     

    Tyrannique, l’économie était le tout, la quête mythique qui régénère et désintègre ; l’acte de violence et la génuflexion, la splendeur et le simulacre, la transfiguration et le miracle…

    Une guerre économique, sans cesse recommencée, une odyssée où la croissance, tout comme la sonde pénétrant les espaces, rencontre queues de comètes et trous noirs, tsunamis et canicules, continuant d’émettre cependant, antennes, cameras et systèmes de régulation tout entiers tournés vers le Verbe comme les politiques savent le faire, afin d’y retrouver, qui sait, la divinité, ou plus simplement justifier une utilité comme ils viennent de l'accomplir à travers une pandémie de peur qui renforcera la santé des labos plus qu’elle ne fera de dégats.

     

    Je crois en la bourse, je crois au Tamiflu….

     

    Réchappé psychiquement de ces QHS mentaux, dont avait su s’extraire, en sa compagnie une bande de joyeux iroquois nécronomistes, JPC se voyait –il gratifier d’une remise de peine sous la forme d’une reprise boursière tant souhaitée par des comiques troupiers et autres autistes des marchés financiers , junkies du ciel zébré de Wall Street ?

    Ou bien était ce là, proverbial chant du cygne, le dernier tour de piste du samouraï en habit noir , signant sous des filtres mythocondriaques, l’acte de décès d’un art dévalué : la nécronomie. ???

     

    Une chose était certaine : On pouvait tout nous voler … sauf le talent…et la liberté d’esprit.

    La nécronomie est là pour rester.

     

  • Stagdéflation, nous y sommes...

    "Ceux qui désirent que tout soit « ferme et stable dans l'ordre matériel » se préparent bientôt « à la servitude .Ils ne laissent pas seulement « prendre leur liberté , mais souvent ils la livrent . Désespérant de rester libre, ils adorent déjà au fond de leur coeur le maître qui doit bientôt venir.» Tocqueville

    Si je te donne un Euro et qu'avec cet Euro, tu fais deux Euros, alors nous sommes dans un mécanisme de création de valeur, de richesse, et l'inflation qui découle est justifiée. Par contre, si cet Euro que je te donne ne génère rien et est simplement dépensé dans la consommation, il n'y a pas de création de valeur, de richesse, et l'inflation qui se développe n'est pas fondée car la circulation de l'argent n'est rien d'autre qu'un abondement de liquidités qui ne crée qu'une croissance artificielle. C'est ce que veux dire Madaaame Merkel (comme l'appelle notre Président...)

    "La crise ne s'est pas produite parce que nous avons distribué trop peu d'argent mais parce que nous avons crée de la croissance économique avec trop d'argent et que ce n'était pas une croissance durable. Si nous voulons en tirer des leçons, la réponse n'est pas de répéter les erreurs du passé."

     

    Nous avons vécu au dessus de nos moyens...Pire, on s'est servi des pauvres pour créer de la croissance...Ce sont eux qui payeront l'addition sur leurs salaires désormais revus à la baisse afin de reprendre d' une main ce que l'on a donné de l'autre sous forme de crédit.

    Au simple niveau Français, petit pays d'europe du sud, lorsqu'entre 97 et 2007, la création de richesse dans notre pays augmente de 50 %, l'immobilier augmente de 147 % et cela a été partout dans le monde, et les conséquences en seront lourdes car quoi  qu'il  arrive, c'est la fin de cette abondance de liquidités génératrice d'inflation non justifiée. Hélas, la spirale stagdéflationniste que nous annonçons depuis fort longtemps, ne se traduira pas uniquement par des baisses des prix mais également par des baisses de salaires...C'est déjà le cas en Angleterre ou les salaires du privé ont déjà baissé de 7,7 % l'année dernière, c'est aussi la cas en Espagne, en Irlande et compagnie....

    Autant vous le dire tout de suite, il ne sert à rien de travailler en dehors des périodes de croissance car on entre sur le marché avec des salaires très bas qui ne seront jamais compensés par l'ancienneté et l'on est définitivement condamné a voir arriver des gens de même compétence avec des salaires plus haut simplement parce qu'ils ont été plus synchrone avec la croissance.

    La question qui relie le travail et l'investissement reste entière : Comment survivre en dehors de l'existence des bulles programmées et de la croissance artificielle ?

    Nécronomiquement votre

     

     

  • Décontamination du consommateur

    Il faut, à mon avis, éduquer le peuple », propose Rosan Mounien, un syndicaliste guadeloupéen de premier plan, aujourd’hui à la retraite. Il poursuit : « On n’interdit pas de consommer, mais on aimerait qu’il y ait plus de réflexion dans l’acte d’achat.
    Le leader du LKP caresse aussi l’idée d’offrir un service après-vente. « Ce n’est pas fini. En effet, après ce premier combat, nous devons mener une autre action pour gagner plus de liberté dans les choix que nous serons amenés à faire. L’argent acquis devra servir à l’épanouissement, à la culture, à l’éducation, à la santé et également à aider la production locale. Cet acquis servira à recommencer à vivre mieux qu’avant. Il ne faut pas que cet argent continue à nourrir une consommation irréfléchie. »
    Source France soir


    Oui, mais voila, autant expliquer à un cancereux du poumon en phase terminale qu'il faut arrêter de fumer...
    www.dailymotion.com/search/confession+/video/x84ro0_confessions-dune-accro-au-shopping_shortfilms

    Après avoir introduit le terme en 1893 dans De la division du travail social, Émile Durkheim, sociologue français du XIXe siècle, emploie en 1897 le mot d'anomie dans son livre sur les causes du suicide, Le Suicide, pour décrire une situation sociale, caractérisée par la perte ou l'effacement des valeurs (morales, religieuses, civiques...) et le sentiment associé d'aliénation et d'irrésolution.
    L'anomie est en fait assez courante quand la société environnante a subi des changements importants dans l'économie, que ce soit en mieux ou en pire, et plus généralement quand il existe un écart important entre les théories idéologiques et les valeurs communément enseignées et la pratique dans la vie quotidienne.


    Source wikipedia

    Avec la TGD viendra le temps de la perte du bonheur dans les démocraties de marché.
    Bref que met on entre la religion et la consommation en période de TGD ?
    D'ou la réponse programmée de la bulle verte et de la consommation durable...promesse d'un monde meilleur qui justifie les sacrifices et plus grosse bulle de tous les temps...
    Le système étant ainsi fait et nous ballotant de bulle en bulle...
    Cela personne ne peut le contester.

    Nécronomiquement votre