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NECRONOMIE - Page 362

  • NI PUTES NI MISOGYNES

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    On savait depuis l’été dernier et l’épisode du Burkini que la France était définitivement un pays islamophobe.

    Nos parlementaires ne voulant pas être taxés de misogynie genre bobonne à la maison mais se devant de faire barrage à l’islamisme radical genre « Ni putes ni soumises » ont heureusement, faisant preuve de leur légendaire créativité, trouvé une solution qui conviendra aux unes et aux autres tout en préservant l'identité nationale et les valeurs de la répoublique banalière.

    Tout parlementaire homme pourra donc rémunérer sa femme à condition toutefois que l’emploi qu’elle occupe soit un emploi fictif. Ainsi devant une telle largesse, nos parlementeurs ne pourront être taxés de misogynie ou d’exploitation.

    Par ailleurs et deuxième avantage, ne se rendant pas à l’assemblée nationale les femmes ne seront pas harcelées sexuellement par les députés libéraux des boîtes à partouze économique et les députés verts libre-échangiste dont le punch line est : « Un ptit trou dans le cul vaut mieux qu’un grand trou dans la couche d’ozone. »

    Toutes ces mesures, on le voit bien, n’ont comme unique objectif que de préserver les femmes dans un monde hostile où même dans la plus puissante des démocraties de Marché, « elles se font attraper par la chatte. »

    Nécronomiquement votre

  • 2017 / Année de la Disette

     année de la disette,fillon president,explosion systemique,ragnarok,crise sans fin,stagnation seculaire

    Depuis 2008, début officiel de la crise, il semblerait que l’on n’ait pas assez compris la futilité des efforts de ceux qui recherchent la nécronomie aux sillons du banal.

    Pour ceux d’entre nous qui se sont donnés du mal pour clarifier ce qui avait été laissé obscur, cela s’est avéré être une activité non profitable.

    Pour d’autres qui en chevauchant sans complexe la fine frontière qui sépare l’avidité piquante de l’âcreté puante, ont luttés pour rétablir les non faits et les non-dits liés à leur inertie et à leur incompréhension de la situation, la crise s’est révélée comme un creux où jeter quantités d’ancres monétaires ou une montagne boursière aux nombreux fanions sans oublier une méga bulle immobilière crée par des taux historiquement bas.

    Qui en fait étaient les bannis de l’épisode, sinon les champions de la clarté ? A savoir les nécronomistes…

    Où étaient donc les témoins de la litanie économique qui fleurissent les plateaux TV quand leur forteresse de fécondité et de croissance fut dévastée par la bête subprimée, cet incube aux ovocytes congelés, aux bananes enflées ?

    Et qui s’étonnerait alors que le basson des aliénés accompagne si stridemment les violons pourris des flatulents que la langue de bois, la narcolepsie et l’affectation répandent dans notre pays, tels des martinets de grande taille à moitié pourris mais soi-disant vertueux.

    Se peut-il qu’un catéchisme Fillonesque aux blouses scolaires nous ait sournoisement menés à l’acceptation tacite des-il-faut-faire-des efforts Thatchérien ?

    D’ici peu en invoquant Ragnarok, nous décerclerons la gelée qui brisent les rêves. De  celles qui démontent les illusions crées par l’étau négatif. De celles qui ayant anéanti les dinosaures cherche l’engloutissement de tout ce qui bouge.

     

    Bonne Année à Tous, Chers Amis nécronomistes, la victoire est proche…

                                                    JPC

     

  • Séquence cinématographique

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    Vu ce matin le film de l'année : Manchester by the sea.

    Comme le dit son réalisateur " on fait toujours des films sur les gens qui réussissent jamais sur ceux qui ne réussissent pas" Et qui forment pourtant le gros des troupes...

    Le résultat est un chef d'œuvre porté par l'interprétation tout simplement extraordinaire de Casey Affleck de loin le meilleur acteur de sa génération.

    Casey Affleck que l'on avait déjà vu briller dans le rôle de Lou Ford le shérif psychopathe du "démon dans ma peau"" d'après l'oeuvre de Jim Thomson, crève une nouvelle fois l'écran par son talent à incarner un personnage fracassé par le vie.

    A voir absolument