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crise 2008;arnaque dette souveraine

  • Necronomie Power

     

     

    J'ai commencé à écrire sur la crise en 2005 anticipant la crise financière, j'ai crée ce blog en 2007, j'ai écrit trois livres et beaucoup d'acteurs des mouvements sociaux sont venus me voir pour les analyses économiques que vous commentez sur ce blog. J'ai multiplié les rencontres auprès d'économiste orthodoxes, personne n'a démonté nos théories même un doyen d' HEC.
    Aujourd'hui, encore moins !
    Evidemment quand je leur parle du châtîment des neufs orifices, ils sont pas préparés. André Bellon mon co-auteur m'a transmis une lettre du sénat indiquant que Gérard Larcher le Président du sénat allait lire le livre avec attention. Bon ça n'a rien à faire avec moi, c'est l'effet André Bellon. Mais tout cela, fidè531061842.jpgles amis et lecteurs depuis si longtemps, c'est juste pour vous expliquer que notre logiciel économique est le bon. Vous êtes à la bonne place !

  • Meilleurs voeux et concept nécronomique 2020

     

     

    crise 2008;arnaque dette souveraine,salaire minimum,salaire maximum,retraite,revenu de base,revenu d'existence,futurAu-delà de l'investissement économique que constitue pour le capital le salaire-revenu du travailleur (fin du salariat comme exploitation, début du salariat comme actionnariat de la société du capital — glissement de la fonction stratégique du travailleur vers la consommation comme service social obligé, le capital investit le travailleur du salaire comme on investit quelqu'un d'une charge ou d'une responsabilité
    Non seulement par le salaire/revenu le capital charge les producteurs de faire circuler l'argent en tant que consommateur et de devenir ainsi les véritables reproducteurs du capital, mais plus profondément par le salaire/statut il en fait des preneurs de biens au même titre que lui, capital, est preneur de travail.
    À partir du moment où le salaire est déconnecté de la force de travail puisque le consommateur prend le dessus sur le travailleur via le crédit qui est du travail non consommé, rien ne s'oppose plus à une revendication salariale maximaliste, illimitée. Car s'il y a un « juste prix » à une certaine quantité de force de travail, il n'y a plus de prix pour le consensus et la participation globale à l’économie. La revendication salariale traditionnelle n'est que la négociation de la condition de producteur. La revendication maximaliste est une forme offensive de retournement par le salarié du statut de reproducteur auquel il est voué à travers le salaire auquel vient s’ajouter le statut de consommateur chargé de faire circuler l’argent et de combattre la crise économique.

    Salaire maximum pour un travail minimum : tel est le mot d'ordre.. Car ce n'est plus alors en tant que producteurs que les salariés interviennent, mais en tant que consommateur, rôle que leur assigne le capital
    Moins on a à en faire en tant que travailleur, plus on doit exiger un salaire élevé en tant que consommateur, Voilà la « classe » telle qu'en elle-même le capital la change : dépossédée de son exploitation même, de l'usage de sa force de travail, elle ne saurait faire payer trop cher au capital ce déni de production, cette perte d'identité, cette débauche. Exploitée, elle ne pouvait exiger que le minimum. Déclassée, elle est libre d'exiger tout.

     

    Bonne Année les Nécros zamis

  • La nécronomie en GJ constituants

    https://www.youtube.com/watch?v=gF6cSk75_4Ethumb_NECRObla.gif.jpg