Alors que les débats publics sont réduits au silence par la censure et l’intimidation, nous sommes escortés vers une dystopie bio-techno-capitaliste dont le caractère infernal risque de se manifester pleinement avec la prochaine crise mondiale. Cela justifierait le déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC), qui, selon les mots d’Agustin Carstens (directeur général de la Banque des règlements internationaux), accorderont « un contrôle absolu sur les règles et règlements qui détermineront l’utilisation de cette responsabilité de la banque centrale [c’est-à-dire l’argent], et nous aurons la technologie pour l’appliquer ». L’argent numérique lié à l’identité numérique est un raccourci pour le servage monétaire de haute technologie, qui sera étendu aux chômeurs d’abord (par exemple, les bénéficiaires du RSA), et potentiellement à la plupart d’entre nous. Quand Larry Fink (PDG de BlackRock) dit que « les marchés préfèrent les gouvernements totalitaires aux démocraties », nous devrions mieux le croire.
ecofascisme
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Le METAVERS est dans le fruit
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MORT AUX SOLUTIONNISTES
Le Président de la République a annoncé la tenue d'un référendum pour inscrire la préservation de la biodiversité, de l'environnement et la lutte contre le dérèglement climatique dans l'article 1 de la Constitution
Coup d’envoi français de la bulle verte et du Grand Reset
Retenez bien ces lettres ESG ou ESS
Économie Sociale de Gouvernance ou Économie Sociale et Solidaire.
Voilà le fameux capitalisme des parties prenantes théorisé par Schwab lors du forum de Davos. Le nouveau pipoti pipota…
Le nouveau capitalisme qui est censé emmener investisseurs, salariés et environnement dans le même chapeau ! Le monde idéal construit par ceux qui l’on détruit !!!
Il y a encore peu de temps, les sociétés les plus valorisés étaient les sociétés de la gigolo économie la Gig économie. Les plateformes comme Uber, Deliveroo, Air BnB et compagnie qui n’ont que très peu de salariés et qui utilisent des indépendants ou des autoentrepreneurs. Le Marché saluait ce nouveau modèle : pas de congés payés, pas de chèques restau, pas d’arrêts maladies, pas de licenciements couteux…Génial…
Uber le plus cynique avait même mis dans son business plan qu’à terme il n’y aurait même de prestataires mais des voitures autonomes. Ils viennent d’annoncer qu’ils renonçaient à cela. Pourquoi, simplement parce que le COVID a révélé que les employés de la GIG économie qui n’avaient droit à rien n’arrêtaient pas de travailler même si ils étaient contaminés et on les comprend bien. La limite a été atteinte. Va-t-on obliger tous les indépendants à fournir un certificat de vaccination pour continuer à travailler ? Compliqué donc il vaut mieux faire le dos rond en espérant que les gouvernements ne légifèrent pas pour réintégrer les prestataires en salariés. Pour autant je ne pense pas que cela soit la fin du paiement à la tâche. Il est où l’ESG ou l’ESS là-dedans ? Marche ou crève de faim ou du COVID.
Certains commentateurs sociaux comme Evgeny Morozov vont même plus loin, convaincus que la pandémie laisse entrevoir un sombre avenir de surveillance étatique techno-totalitaire. Son argument, fondé sur le concept de « solutionnisme technologique » mis en avant dans un livre écrit en 2012, est le suivant : les « solutions » technologiques proposées pour contenir la pandémie feront nécessairement passer l'état de surveillance au niveau supérieur. Il en voit la preuve dans deux courants distincts de « solutionnisme » dans les réponses gouvernementales apportées à la pandémie qu'il a identifiées. D'une part, il y a les « solutionnistes progressistes », selon lesquels si les bonnes informations sur l’infection sont présentées aux bonnes personnes, via une application, cela pourrait amener les gens à se comporter dans l'intérêt de l’ensemble de la population D'autre part, il y a les « solutionnistes punitifs » déterminés à utiliser la vaste infrastructure de surveillance numérique pour limiter nos activités quotidiennes et punir toute transgression. D’après Morozov, le plus grand risque pour nos systèmes et libertés politiques est que l'exemple « « réussi » de l’utilisation de la technologie pour surveiller et contenir la pandémie « consacre la boîte à outils du solutionnisme comme option par défaut pour résoudre tous les autres problèmes existentiels, des inégalités aux changements climatiques. Après tout, il est beaucoup plus facile de déployer des technologies solutionnistes pour influencer le comportement individuel que de poser des questions politiques difficiles sur les causes profondes de ces crises.