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national liberalisme

  • Un récap Nécro

    national liberalisme,patronant,arnaut,medef,fin europeDans les démocraties de Marché, nous ne disposons de choix que lorsque ceux-ci sont déjà faits. Exactement comme le consommateur zombie devant le linéaire de son hypermarché mondial.

    Huntington le théoricien préféré de l'extrême droite connu pour sa théorie du Choc des civilisations a bien d'autres écrits notamment sur la limite des démocraties libérales.

    La limite des démocraties est, pense t’il, que les minorités ou dites minorités veulent avoir les mêmes droits que la majorité. L'extrême droite depuis s'est emparée de ce thème sous le nom de dictature des minorités.

    Il faudrait pense Huntington que les femmes ne veulent pas les mêmes droits que les hommes, que les noirs que les blancs, que les homosexuels que les hétéros et que les migrants les natifs...

    Il faudrait que les minorités s'auto-restreignent et cela n'est pas possible dans une démocratie vraiment libérale. Nous passons donc à la phase d'après accélérée par Trump.

    En gros pour simplifier, suite à la mondialisation malheureuse, La demande d'autorité est telle qu'une droite forcément dure avec si possible un leader dans une posture Mussolinienne est plébiscité.

    Comment cela s'organise t'il en pareil cas ?

    La réponse est simple, elle a fait ses preuves : Fort avec les faibles et faibles avec les forts...Un État autoritaire dont l'autorité s'arrête au seuil du Marché.

    Cela veut dire autoritaires avec les migrants, les laissez-pour compte, les chômeurs et les déchets de la mondialisation mais faible devant le Marché et les grands patrons.

    En clair, un laissez faire économique avec les grands patrons comme Musk, Zuckerberg aux USA ou en France Martin le patron du MEDEF, Bernard Arnault ou l'inévitable Vincent Bolloré qui après avoir soutenu Zemmour soutient maintenant Bardella depuis que Ciotti en posture d'offrande était venu le convaincre que Bardella était différent de Marine d'un point de vue économique, C'est à dire plus libéral que Marine qui sait qu'll ya bcp de chômeurs et de rsistes dans son électorat en région

    Bardella rejoignant donc la ligne Knafo la knacki girl de la rue des canettes et Marion la Maréchale.

    Nationalisme pour les pauvres et libéralisme pour les riches...

  • Conseil lecture

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    Si la confusion règne ainsi, c'est parce que notre grille de lecture est tout simplement fausse. Nous croyons que le monde est pris dans deux processus contradictoires : la mondialisation, d'un côté, et le repli national-identitaire, de l'autre. Or, affirme Jean-François Bayart dans ce livre vif et tranchant, ces deux processus participent d'une même dynamique " national-libérale ", qui a conduit les politiques étrangères des pays occidentaux dans une impasse tragique. Ce n'est donc pas un hasard si certains hommes politiques se réclament haut et fort tout à la fois de l'économie globale et de la souveraineté nationale.
    Né du passage d'un monde d'empires à un système international d'États-nations, le national-libéralisme – libéral pour les riches, national pour les pauvres – a conduit le monde au bord du gouffre. Il est grand temps de ne plus laisser le monopole du politique aux marchands d'illusions identitaires, ces faiseurs de malheurs.

    Le national-libéralisme est au libéralisme ce que le national-socialisme avait été au socialisme.

    Il est toujours un moment où l’illusionniste, à force de jongler avec le lapin national et le renard capitaliste, dévoile ses ficelles et déçoit son public.

    Le national-libéralisme condamne au mensonge d’État, à la prestidigitation politique, à l’équilibrisme gouvernemental, à l’illusion identitaire. Il repose sur le brouillage systématique de la frontière entre le global, le national et le local, ou encore de la délimitation entre la sphère publique et la sphère privée dans le domaine économique. Son emblème est la chauve-souris : « Voyez mes ailes, je suis oiseau ; voyez mon corps, je suis mammifère ! »

     

  • Elon musk décrypté et national liberalisme

    Courtoisie de Vince

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    Le wokisme même soutenu par le capital ayant lamentablement échoué, voici venu le temps du masculinisme et du libéralisme autoritaire, que j'avais appelé le néo-ordo-libéralisme mais qui est en fait un national-libéralisme dont la forme la plus aboutie est représentée en Allemagne avec l'AFD deuxième force politique du pays et Alice Weidel lesbienne anti-LGBT, brillante économiste formée par Goldman Sachs et la Money Power qui dans son programme veut un Dexit, une sortie de l'union monétaire qui nous pend au nez car si l'Allemagne sort, il en sera fini de l'Euro indexé sur le Mark.

    Alice n'aime pas les pauvres et les migrants qu'elle considère comme des boulets.

    Elle est pro-russe à cause du gaz pas cher. Bref, elle est ultra-pragmatique.

    Cerise sur le gâteau, elle est soutenu par Elon Musk qui soutient tous les nationaux libéraux et pour cause : ayant constaté que les démocraties de Marché ne veulent plus de migrant y compris les immigrés de travail, et constatant également que la démographie est vacillante dans tous ces pays. Elon Musk voit là, la formidable opportunité de remplacer les migrants et le sous-prolétariat par ses humanoïdes. Il faut rappeler que la fabuleuse valorisation de Tesla ne repose pas uniquement sur les voitures mais aussi sur ses humanoïdes qui ne demanderont ni tickets resto ni congé payés

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