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  • L'Union soviétique de la consommation : La France

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    Du pain et des jeux…dans la sous France...
    La coupe du monde de rugby qui semblait être à elle seule une stratégie de croissance (0,3 % en sus dans le meilleur des cas ) étant terminée, nos gouvernants n’ayant visiblement pas d’autres stratégies, vont désormais s’atteler au pouvoir d’achat : Flambée des prix des matières premières de 10 à 20 % sur les produits alimentaires de bases et augmentation des cantines scolaires de 8,5 à 10 % suffiront-ils à réveiller nos concitoyens ?
    A l’heure où un bulletin météo nous annonce un ouragan nécronomique mondial, nous continuons à faire du surf et à se laisser bronzer dans un pays où la faible croissance n’existe plus que par les dépenses sociales et publiques dont l’impact global sur la croissance représente désormais 50 % de notre PIB (100% cela s’appelait l’union soviétique…).
    Autant dire que le budget 2008 qui prévoit encore 41,7 milliard de déficit ne sert qu’à masquer une récession qui est déjà là…
    Lorsqu’on sait qu’entre les impôts directs et indirects nous travaillons déjà plus de six mois pour l’état, on peut donc logiquement conclure que nous sommes arrivés à un stade où nous payons juste pour avoir le droit de consommer les six autres mois restants…
    Pourquoi ne pas nous verser un salaire directement pour ne rien faire pendant six mois à part consommer et payer des taxes, sans passer par la case travail qui semble stresser les gens ?
    Si c’est juste une question de circulation d’argent…

  • Prise du pouvoir des consommateurs : A quoi ça sert...???

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    Dans ma note du 30 septembre "Marketing de l'inculture : Attali triomphe..."
    Je vous faisais part de mon étonnement de voir" l'homme le plus intelligent de France" découvrir l'oeuvre de Max Weber (sans jamais le citer) devant des journalistes admiratifs.

    A l'heure ou mes autres camarades de la plate-forme annoncent la prise de pouvoir du consommateur, je voudrai attirer votre attention sur ce livre sorti récemment qui livre une analyse d'autant plus pertinente qu'elle émane d'un ancien conseiller de Clinton et de Howard Dean : Benjamin Barber.

    en voici, le résumé :

    "Consommateurs ou citoyens ? D'ordinaire, les deux termes ne sont pas jugés antagoniques. Benjamin Barber démontre qu'ils le sont. Car le capitalisme a radicalement changé. S'il a pu être historiquement associé à des vertus qui ont aussi contribué à fonder la démocratie, il est aujourd'hui lié à des vices qui la détruisent.

    L'"éthique protestante" de Max Weber, qui privilégiait le travail, l'épargne, la vie simple, la probité, la responsabilité et une économie oeuvrant à la satisfaction de vrais besoins, s'est muée en son contraire : un "éthos infantiliste" qui glorifie la consommation, la superficialité et la dépense inutile pour assouvir de faux besoins. Les ex-citoyens sont transformés en grands enfants, tandis que les vrais enfants et les adolescents deviennent l'épicentre et la cible privilégiée du marketing.

    Benjamin Barber étudie sous divers angles cette régression culturelle, insistant notamment sur les progrès extravagants d'une privatisation qui dynamite le contrat social et n'épargne même plus les fonctions régaliennes de l'Etat, comme la police et l'armée, ou encore sur la création d'identités factices autour des marques.

    Comment en finir avec cette éclipse de la démocratie, avec cette vie publique "schizophrénique" ? Pour l'auteur, ce n'est pas en essayant de miner le capitalisme consumériste de l'intérieur, en tant que consommateurs, ni en tentant de le brider, comme autrefois, dans le cadre devenu étriqué d'un Etat national. Le remède aux maux qui accablent la démocratie au sein des nations, c'est plus de démocratie entre les nations, et une action citoyenne mondial

  • Retour vers le passé

    je suis ahuri quotidiennement par le retour au valeur du passé qui s'effectue dans notre beau pays.
    Cécilia qui n'a aucun commentaires à faire sur son divorce (à part dans toute la presse), nous est présentée désormais comme un modèle de la femme moderne et libre.

    Qu'en pensez vous Mesdames ? une femme qui a l'âge de 50 ans n'a jamais travaillé de sa vie autrement que pour les hommes dont elle partageait la vie ...
    Est-ce vraiment cela la modernité et l'indépendance de la femme occidentale ?

    Elle aura mis beaucoup moins de temps à libérer les infirmières bulgares qu'a se libérer elle-même (si tant est qu'elle n'ait pas encore zappé vers un autre homme).
    Ni pute ni soumise....comme disait Fadela...