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  • Le châtiment

     Bon les zamis nécro, nos thèses gagnent du terrain chaque jour...

    notamment celle que je défends depuis maintenant quinze ans

    A savoir celle du châtiment des neufs orifice à la Japonaise de la fin des années 80 à savoir un double krack action et immobilier. Vous serez punis par tous les orifices avec lesquels vous avez consommé...

    Voir ma première ITW de 2010 à la sortie de Crise et Mutation avec Charles Antoni.

    Désormais cette thèse est reprise par bcp d'"experts"

    la preuve

    « Le krach boursier de -50 % vient-il de commencer ? » L’édito de Charles SANNAT - Insolentiae

    Concernant la reunion du 27, je serai présent avec André Bellon, hélas Mehdi ne sera avec nous car il a une conf à Bruxelles avec Kairos le journal antiproductiviste que soutient mon ami Marcel la Feignasse. Il n'est pas exclu que moi aussi sous peu j'aille faire une conf sur la domination du travail mort.

  • Ils comprennent enfin

    hier y avait un podcast entre Krugman le nobel d economie et Summers fils de Nobel et futur nobel
     
    Mettre fin à un boom est toujours difficile"
     
    Et comment les choses vont-elles continuer maintenant, veut savoir le modérateur Brunnermeier : Krugman appartient-il à la "#TeamTransitory", ces économistes qui s'attendent à ce que l'inflation diminue bientôt, tandis que Summers appartient à la "#TeamPersistent", ces scientifiques qui pensent que l'inflation est venue pour rester ?
     
    Cela semble être la tendance.
     
    Quoi qu'il en soit, Summer dit qu'il pense que l'évaluation de la Fed selon laquelle une partie de l'inflation disparaîtra d'elle-même est très optimiste.
     
    En plus d'une forte demande avec des goulots d'étranglement dans l'offre, il existe désormais de nouveaux risques à la hausse pour l'inflation, par exemple en raison de tensions géopolitiques ayant des conséquences sur les prix de l'énergie.
     
    Krugman a souligné que les anticipations d'inflation en particulier jouaient un rôle important. Ici, il est important de regarder les modèles de comportement des gens. "Dans les années d'inflation des années 1970, tout le monde se comportait comme s'il y aurait une inflation permanente, et cela a conduit à l'inflation." Maintenant, le comportement n'est plus comme dans les années 70. Mais cela pourrait arriver : "Il faut être prudent là-bas." Cependant, l'économie américaine n'a pas besoin de relance supplémentaire : « Si j'étais la Fed, je plaiderais pour des hausses de taux d'intérêt. La question est de savoir combien et à quelle vitesse.
     
    Les deux économistes vedettes font évidemment peu de cas de la préoccupation de « dominance budgétaire », c'est-à-dire que la politique monétaire des banques centrales soit dominée par les intérêts des pays très endettés à des taux d'intérêt bas. Brunnermeier a écrit un livre à ce sujet. Cela pourrait être un risque théorique, mais tant que les taux d'intérêt post-inflation sont toujours négatifs, la pression sur la viabilité de la dette souveraine est faible, a déclaré Summers. Krugman a prononcé la phrase : "Les États-Unis ne sont pas la République de Weimar." Les inquiétudes concernant le développement des pays émergents très endettés ne sont désormais "pas une bonne raison d'être une colombe de la politique monétaire", c'est-à-dire de plaider pour une politique monétaire plutôt accommodante, a déclaré Summers.
     
    Dans tous les cas, les deux économistes s'attendent à ce que la banque centrale américaine relève ses taux d'intérêt à plusieurs reprises cette année.
     
    Cependant, cette manière de lutter contre l'inflation ne sera ni facile ni confortable pour la Fed, a souligné Summers.
     
    Il n'est pas possible pour la Fed de simplement lever doucement le pied de l'accélérateur, elle doit ralentir : « Mettre fin à un boom est toujours difficile."
     
    En France aussi on vient de caper que l'inflation n'est pas temporaire

  • NEWS DU FRONT

    Le bouton de la hausse des taux seul moyen de combattre l'inflation fait trembler tout le monde. L'avenir du monde dépend de la FED

    Le planché est fissuré et que la FED siffle prématurément la fin de la récré où tout monde s'est gavé ces deux dernieres années terrorise. La fête du slip est terminée et il va falloir vendre l'austérité sous le nom de sobriété heureuse car il ca falloir rembourser un tout petit peu. Auquel cas sur les Marchés actions,cela veut dire moins 15 % au minimum et apres down by the deep vers les moins 30%

    L'immobilier suivra dans un second temps...

    Lourde est donc la responsabilité....et la pression

    Tous les petits jeunes qui se sont lancés comme autoentrepreneur dans le conseil financier pour faire du trading quotiden vont déchanter.

    "La Fed reste la grosse histoire", a expliqué Ross Mayfield, analyste chez Baird. Les investisseurs ont le sentiment qu'elle "semble plus agressive avec chaque nouveau discours, chaque nouvelle information. Et, logiquement, c'est mauvais pour la tech et les valeurs de croissance".

    Certains analystes évoquent désormais une hausse de 50 points de base du taux de la Fed (0,50 point de pourcentage) dès la réunion de mars, alors que l'institution procède généralement par quart de point (0,25 point de pourcentage)

    Ce matin, j' ai été reveille par Marcel la feignasse qu'on ne vous présente plus et qui venait de décrocher sur un kiosque une Une du journal le point sur la Grande Démission ». Tous ces gens qui ne veulent plus travailler pour faire n'importe quoi après le COVID. Mouvement que l'on appelle la Grande Résignation aux USA.

    « Je vais avoir de nouveaux adhérents...».

    Pour rappel, Marcel est Président de l'inaction française. Mouvement aux conditions assez strictes puisqu'il faut pour adhérer justifier d'au moins 20 ans d'inactivité.

    Je lui ai dit qu'avec la transition énergétique et la fin du moteur thermique 2030 il aurait de nouveaux venus. Car il faut bien le dire la fameuse destruction créatrice Schumpétérienne sera surtout de la destruction. Des centaines de milliers d'emplois et pas uniquement chez les constructeurs automobiles. Et quelqu’un qui fait le même boulot depuis vingt ans, il ne suffit pas de l'envoyer en formation pour qu'il devienne opérationnel le demain.

    Alors la mobilité sociale ? Pas évident pour ceux qui sont proprio d'une maison classée énergiquement F ou G donc inachetable sauf à faire des dizaines de milliers d'euros de travaux ? Leur prime de licenciement ne pourra payer tout ça.

    Au chapitre des bonnes nouvelles, la nécronomie menant à tout, on va sortir du ghetto pour aller s'installer non loin dans un quartier populaire mais moins qu'ici depuis le Mur de la Honte et le déversement des crackers.

    Cerise sur le gateau, d'après mes calculs, nous allons économiser 300 euros par mois loyer et énergie. La hausse de l'énergie étant tendancielle, on ne peut refuser cette opportunité nécronomique.

    Et puis on va être au bord du canal de l'Ourcq, en été cela peut être sympa...

    La grande démission - une réalité en France ? (workelo.eu)